Quel petit vélo à guidon chromé au fond de la cour?
Explanation: The original title is “Quel petit vélo à guidon chromé au fond de la cour? » and refers to a work published in 1966. One of his more familiar works is "Life : a user's manual". Many of his works have been translated but I have found no trace of the referenced title have been translated, which does not exclude that as a possibility of course. As to the translation of the title, I did come across one site where it referred to "moped" which would have supposed "mobylette" in the original of course! Sometimes translated books have their titles changed completely, but then you probably know that! A suggested translation of the title as is, and without having read the work : "Which little bike with the chrome handlebars at the botom of the playground?" Possible alternatives : little : small playground : yard, courtyard ("cour" is also used to describe school playgrounds and as the bike is small, it could be a childhood context) Note : - "chrome" in UK English, not "chromed" ; - "handlebars" geenrally expressed in the plural It’s always worth doing a web search on this sort of would-be error, just to clear things up ! What is interesting is that in at least two of his later works, artistic licence was applied and certain letters deliberately left out… a coincidence no doubt. http://www.multimania.com/rivierejy/perec.html Georges Perec, écrivain français (Paris, 1936 — id., 1982). Georges Perec a fait des études supérieures aux facultés des lettres de Paris et de Tunis. Sociologue de formation, son premier roman, les Choses (1965), lui vaut, avec le prix Renaudot, une réputation de moraliste de la société de consommation. Mais si Perec est un amoureux des inventaires, il ne se laisse pas si aisément, lui, cataloguer: Quel petit vélo à guidon chromé au fond de la cour? (1966) est une histoire loufoque à la Queneau, son grand maître, et Un homme qui dort (1967), un roman de la dépression. Il apparaît vite que cet homme de la volte-face mène en fait un projet continu, celui d'arpenter le monde, d'explorer le double univers du réel et du langage (Espèces d'espaces, 1974). Paraît en 1969 un ouvrage lipogrammatique, la Disparition, où la lettre «e» est délibérément exclue, suivi des Revenentes, écrit sans autre voyelle que celle-là. Il y aurait quelque facilité à ne voir, dans ces ouvrages, que les jeux gratuits d'un «oulipien» (membre de l'Oulipo, fondé en 1970). Ils signalent au contraire le principe organisateur de toute l'œuvre: constat de l'effacement, effort acharné de la restitution. C'est qu'il y a dans la vie même de Perec deux disparitions premières que l'écriture se donne à charge à la fois de redire inlassablement et de tenter de réduire: celle de son père, juif polonais tué à la guerre, au lendemain de l'armistice, celle de sa mère disparue à Auschwitz. «J'écris, dit-il, parce qu'ils ont laissé en moi leur marque indélébile et que la trace en est l'écriture.» Son œuvre apparaît alors comme une «autobiographie éclatée». http://bmrc.berkeley.edu/people/smoot/books http://www2.ec-lille.fr/~book/perec/textes/ http://www2.ec-lille.fr/~book/perec/agp/ There really is lots of info on Perec on the web, you know. Happy searching?
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