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Portfolio
Sample translations submitted: 4
English to French: John Alexander e-book "how to become an alpha male" Chapter 1 extracts.
Source text - English CHAPTER 1: The Truth About Women's Love of Sex . . . It May Surprise You
“Women are too complicated.”
“Women are too needy.”
“I don’t understand women.”
You hear that crap all the time. And, honestly, it’s a cop-out. Other men say that because it’s easier to throw up their hands and just relate to women as black boxes that can’t be understood than to try and wrap their minds around understanding women.
Here’s what you need to understand about women, and it’s good news: they are very sexual creatures on a fundamental, biological level. In fact, they probably enjoy sex even more than we do. Ever notice how women moan during sex much more than men do?
What All Women Live In Fear Of (and the trick to soothing this anxiety so they'll do whatever you ask!)
Unfortunately, society conditions women to believe, in the logical portion of their minds, (not the emotional portion) that it's "wrong" to enjoy sex.
Because women tend to be social creatures (more so than men, for reasons of evolutionary psychology), labels such as “slut” or “whore” have a strong, negative effect on them.
None of these penalties apply to men who have lots of sex. So, you see, the supreme tragedy of the misogynistic system set up by religion and society to repress women’s sexuality... is that men everywhere have more of a challenge in getting sex than they would if they were living back in pre-civilization times when women were wild and uninhibited.
So your job as a man in modern society is to get around a woman’s societal conditioning and draw out the natural woman within her.
Sound hard? Believe me, it’s not! In a way, women are like padlocks. They seem impossible if you’re using the wrong keys, but once you find the right key, they open easily. And yes, you CAN do this. I’m going to show you how.
To draw out the natural woman that lies deep inside every chick, you must always bear in mind that on a subconscious level, women love sex and they want it just as much as (and maybe more than) we do.
And as if the societal conditioning that women are subjected to isn’t bad enough, a much more powerful force lies within them: their biology. A perfectly natural consequence that can result from having sex is having babies, and every woman knows it.
And she knows that if she gets pregnant when she isn’t supposed to be pregnant, people will talk. Therein lies the supreme tragedy of women; despite loving sex, they can’t be free with their sexuality without being labeled a slut.
So while you—as a sexual man—move your encounters with women towards sex, you need to prevent her from feeling like a slut.
(By the way, it’s to your own advantage to be discreet with women. The last thing you should ever do is be like the approval-seeking beta males who brag to their buddies about the women they’ve bedded. You don’t need the approval of your buddies, so skip the locker room talk! Real men don’t need to do that.)
Ever talked with guys who tell you, “We men will never understand women”? Well, women really aren’t as mysterious or hard to understand as guys think. Nor are they as different from us as some of us might think.
Since we know that women want sex, it’s OK for you to have sex as your agenda when you interact with them. In fact, it’s actually a good idea.
What you should avoid doing at all costs, however, is verbalizing your intentions. You do NOT want to say anything about sex, or your intent to have it, to the woman.
Whenever you reveal your sexual intentions to a woman by saying something about it, you engage the logical portion of her mind, which causes her societal conditioning to kick in. “Uh oh,” she thinks. “This guy is tacky, gross, and creepy. And I could end up being a slut here.”
So avoid being explicit about sex, and keep in the back of your mind how much women love sex, and work on projecting sexuality without saying anything at all about it. Use your body language, not your mouth.
Translation - French CHAPITRE 1 : La Vérité sur L’Amour des Femmes pour le Sexe… Vous Allez Peut-Être Être Surpris
"Les femmes sont trop compliquées. "
" Les femmes en demandent trop. "
" Je ne comprends pas les femmes. "
Vous entendez ces conneries à longueur de temps. Et, honnêtement, ce sont des excuses. Les autres hommes disent ça car il est plus facile de baisser les bras et de penser que les femmes ne sont que des casse-têtes impossibles à résoudre, plutôt que de s’y essayer vraiment en consacrant tout son esprit à les comprendre.
Voilà ce que vous devez savoir sur les femmes, et c'est plutôt une bonne nouvelle : Ce sont des créatures très sexuelles sur un plan fondamental, biologique. En fait, elles aiment probablement le sexe encore plus que nous. Vous avez déjà remarqué comment les femmes gémissent d’avantage que les hommes lorsqu’elles font l’amour ?
Ce Que Redoutent Toutes Les Femmes (et le truc pour les rassurer et les amener à faire tout ce que vous demanderez !)
Malheureusement la société conditionne les femmes à croire, dans la partie logique de leurs cerveaux, (pas la partie émotionnelle) qu’aimer le sexe, c’est "mal".
Parce que les femmes ont tendance à être des créatures sociales (d’avantage que les hommes, pour des raisons d’évolution psychologique), des étiquettes telles que "salope" ou "pute" ont un fort impact négatif sur elles.
Aucune de ces conséquences néfastes ne concerne les hommes qui ont beaucoup de partenaires sexuelles. Donc, voici la tragédie suprême du système misogyne mis en place par la religion et la société pour réprimer la sexualité féminine… Partout, les hommes ont beaucoup plus de difficulté à exprimer leur sexualité que s’ils vivaient dans des temps reculés où les femmes seraient sauvages et désinhibées.
Votre travail en tant qu’homme moderne est donc de contourner le conditionnement féminin imposé par la société et de révéler la femme naturelle, authentique.
Ça a l’air difficile ? Croyez-moi, ça ne l’est pas ! Dans un sens, les femmes sont comme des cadenas. Ils semblent impossibles à ouvrir si vous utilisez la mauvaise clé, mais dès que vous avez trouvé la bonne, ils s’ouvrent sans problème. Et oui, vous POUVEZ le faire. Je vais vous montrer comment.
Pour révéler la femme naturelle qui se cache au fond de chaque fille, vous devez toujours garder à l’esprit, qu’à un niveau inconscient, les femmes adorent le sexe et qu’elles en ont envie tout autant (et peut être même plus) que nous.
Et, comme si le conditionnement que la société impose aux femmes ne suffisait pas, une force bien plus grande réside en elles-mêmes : leur biologie. Avoir un enfant est une conséquence complètement naturelle de la sexualité, et toute femme sait ça.
Et elle sait que si elle tombe enceinte alors qu’elle n’est pas censée l’être, les gens parleront. Voilà où réside la tragédie suprême de la condition féminine ; en dépit de leur amour du sexe, elles ne peuvent le vivre librement sans peur d’être traitées de salopes.
Donc, pendant que vous – en tant qu’homme sexuel – emmenez vos rencontres avec le sexe opposé sur le terrain de la sexualité, il vous faut empêcher votre partenaire d’avoir l’impression d’être une salope.
(Au passage, la discrétion sur vos relations joue grandement à votre avantage. La dernière chose que vous devriez vouloir faire est de rechercher l’approbation comme le font ces mâles dominés qui se vantent devant leurs potes des femmes qu’ils se sont tapées. Vous n’avez pas besoin de l’approbation de vos amis, alors il faut oublier ce type de conversations de vestiaires ! Les vrais hommes n’ont pas besoin de ça.)
Vous avez déjà discuté avec des gars qui vous disent : "Nous, les hommes, nous ne comprendrons jamais les femmes" ? Et bien, les femmes ne sont vraiment pas aussi mystérieuses et complexes que ces gars le pensent. Elles ne sont pas non plus aussi différentes que certains d’entre nous pourraient penser.
Maintenant que nous savons que les femmes aiment et ont envie de sexe, il est acceptable pour vous d’avoir le sexe en tête alors que vous établissez un échange avec une femme. En fait, c’est même plutôt une bonne idée.
Ce qu’il vous faut, par contre, éviter de faire à tout prix, c’est de verbaliser vos intentions. Vous ne devez RIEN dire qui ait un rapport avec le sexe, ou vos intentions en la matière, à une femme.
Lorsque vous révélez vos intentions sexuelles à une femme en le disant, vous faites appel à la partie logique de son cerveau, ce qui entraîne un rappel du conditionnement sociétal. « Oh oh, » pense-t-elle alors. « Ce gars est grossier, vulgaire et dégueulasse. Je vais me faire traiter de salope. »
Il vous faut donc éviter d’être trop explicite en matière de sexe, tout en gardant en tête l’amour des femmes pour le sexe. Vous devez alors essayer de communiquer sexuellement sans rien dire à ce sujet. Utilisez votre langage corporel, pas votre bouche.
English to French: John Alexander e-book "how to become an alpha male" Chapter 2 extracts.
Source text - English CHAPTER 2: The Number One Dating Mistake Men Make and How to Avoid It, Once and for All
At the ripe old age of 23, a friend of mine got his first girlfriend. Even though he was just a law student, barely getting by, he proceeded to spend over $3,000 on the girl in just one short, whirlwind of a month, blowing through expensive wines at restaurants and other unnecessary gifts.
Though he did get laid several times in that short time span, she left him for another guy. My friend was heartbroken for months afterward, not to mention that he had to get a part-time job to replenish his bank account.
Been there, done that. I’ve bought girls dinners, movies… even a $500 ring that I saved up for back in high school. It used to be that I’d routinely bring a girl a $30 bouquet of flowers on our first date.
All of that money spent, and not much to show for it. All I’d wanted out of the deal was to get some sex. It seemed a really simple bargain... the chick would get the stuff I bought her, and in exchange all she’d need to do is spread her legs.
Sound familiar? Are you frustrated when you don’t get laid like you should, after all the money you’ve spent?
Well, here’s the thing: you’re operating on a false assumption. Money spent doesn’t necessarily equal legs opening.
The problem with lavishing money on a woman who hasn’t earned it is what it communicates. And what it communicates to her, loud and clear, is that her value is higher than yours, so you need to earn her approval by purchasing it.
It’s like you’re saying, “OK, I know my value is less than yours, so how’s about I throw in a dozen roses, an expensive dinner, and some really nice diamond earrings?” Get the picture?
The reality, however, is that if you know that your value is high, then you don’t need to buy her approval.
I know that saying “don’t buy things for girls” goes against what we men logically think, and it damned sure goes against what we’re all taught. After all, we’re all brought up to believe that if there’s something of value that we want, we need to be willing to shell out what it takes to buy it, right?
Well, in the case of inanimate objects that don’t think for themselves, that’s true. But in the case of women, it’s not true.
Consider the average super-hot woman. Most men regard her as highly valuable and thus they grovel before her and worship the ground she walks on. She walks into a place and her money’s no good.
Yet what kind of dude does a woman like this typically go for? Usually one with high social status, who sees no need to buy her things in order to win her affections. Oh, sure, he does it later, after he has her, so that she has nice things to show off…but not while he’s getting her.
The bottom line is that there are three unbreakable rules of spending money on women (screw these up, and not only will you go home broke, but with blue balls too). Always weigh whether to pay with these questions:
1) What is my value and hers? If you make a special effort to pay, you are communicating to her that you think she has a higher value than you.
2) Has she earned what I’m going to give her? As an alpha male, you reward good behavior. So make sure the woman has done something to earn your approval! (I recently lavished a $100 meal on a woman I'm dating. I did it because she has given me the world's greatest fellatio. Make no mistake about it: the one and only time you should ever take a woman out on an expensive date is when she's done something significant to earn it, like pleasing you sexually.)
3) Am I paying for this in an alpha manner? Make sure to not frame it as you buying a woman into your bed, because that's beta and needy.
I want you to start getting a mental picture of yourself as a man of high value. Now, as a man of high value, you need to take the mindset that yeah, you’re interested in the woman, but your interest is conditional upon her good behavior.
By the way, never say to a woman things like, “I’m buying you this as a reward.” Just reward good behavior and avoid encouraging bad behavior, and you’ll find that things will work out better for you.
When you do buy the woman things, never make a big deal out of it. You can even say something like, “I’ll pay for the coffee. It’s no big deal.” What that says to her is that you’re more interested in the social interaction that the two of you are having and that you’re barely even thinking about the drink you just bought her.
It also means that there are no strings attached. By saying “it’s no big deal,” you make it clear that you’re not putting pressure on her to reciprocate what you’ve done for her.
“Buying-me-things-because-he-wants-something-later” is a behavior that many women consider manipulative and results in the man being denied sex. And to be quite honest, many men fall right into that trap by making a big production out of buying the woman nice things. Don’t be that guy.
Unfortunately, the average woman has gone out with so many men who bought her things to try to get into her pants that when you start buying her nice stuff, it triggers an automatic negative reaction within her. “Eeew, he’s trying to buy sex,“ she thinks, and then she turns off on you. The typical woman is not a prostitute and doesn’t want to be treated like one.
Fine, but then what do you do when the check comes? Well, first off, you shouldn’t take a woman out for a big, fancy date until after the two of you have had sex. Then, take her to an expensive restaurant as a reward for her good behavior.
Your first date should be something informal and inexpensive such as coffee. That way when the check arrives, it’s really no big thing.
A basic rule of thumb is to ask yourself whether you’d pay if you’d invited out a casual male friend instead of that chick sitting across from you. If the answer is yes, then by all means do it.
And don’t feel like you’re being taken just because you picked up the tab for coffee. You don’t want to lose a lay just because you were too stingy to buy a $3 latte.
The main thing you need to do is to realize why you’re doing things. Never buy things for a woman or do favors for her because you think you need to earn her approval. Instead, adopt the mindset of the alpha male: anything you do for her is conditional on her having earned it.
Translation - French CHAPITRE 2 : L’Erreur Numéro 1 que Font Les Hommes et Comment L’Éviter, Une Bonne Fois Pour Toutes.
À l’age canonique de 23 ans, un de mes amis est sorti avec une fille pour la première fois. Bien qu’il fût un simple étudiant en Droit, arrivant tout juste à joindre les deux bouts, il réussit à dépenser plus de 3000 dollars pour cette fille en l’espace d’un tout petit mois, claquant son argent en vins coûteux et autres cadeaux inutiles.
Alors qu’il avait couché avec elle plusieurs fois pendant ce laps de temps, elle le quitta pour un autre homme. Mon ami eut le cœur brisé pendant des mois après cela et il dut également trouver un boulot à mi-temps pour renflouer son compte en banque.
Moi aussi j’ai fait ça. J’ai payé des repas, des séances de cinéma à des filles…et même une bague à 500 dollars pour laquelle j’avais économisé longtemps à l’époque du lycée. J’avais même l’habitude d’offrir systématiquement un bouquet de fleurs à 30 dollars pour un premier rendez-vous.
Tout cet argent a été dépensé, sans grand résultat. Tout ce que je voulais c’était du sexe, l’affaire semblait bonne… la fille avait les cadeaux que je lui payais et, en échange, tout ce qu’il lui fallait faire, c’était écarter les jambes.
Ça vous rappelle quelque chose ? Vous sentez-vous frustrés quand vous ne baisez pas comme prévu, même après toutes ces dépenses ?
Mais voilà, vous vous basez sur une fausse croyance. Les dépenses d’argent n’entraînent pas nécessairement l’écartement des jambes.
Le problème, lorsque l’on gâche de l’argent pour une femme qui ne l’a pas mérité, c'est au niveau de ce que cela communique. Voici l’information que vous lui donnez, de façon limpide : elle vaut plus que vous, et vous devez gagner son approbation en l’achetant.
C’est comme si vous disiez, "D’accord, je vaux moins que toi, mais si j’ajoutais une douzaine de roses, un bon restau et de très jolies boucles d’oreilles en diamant ?" Vous voyez le tableau ?
La réalité, cependant, c'est que si vous savez que vous valez cher, alors vous n’avez pas besoin d’acheter son approbation.
Je sais bien que de dire de ne pas " acheter de cadeaux aux femmes" va à l’encontre de ce que les hommes pensent de manière logique, et à l’encontre de tout ce que l’on nous a enseigné. Après tout, nous sommes tous élevés dans la croyance que si nous voulons quelque chose de valeur, nous devons être prêts à en payer le prix, n’est ce pas ?
Et bien, c’est vrai en ce qui concerne les objets inanimés, mais pas dans le cas des femmes.
Imaginons une très jolie femme classique. La plupart des hommes la jugent comme ayant une grande valeur et se prosternent donc à ses pieds en bénissant le sol qu’elle foule. Elle ne paie jamais rien nulle part.
En général, quel type d’homme intéresse cette femme-là ? La plupart du temps quelqu’un avec un statut social élevé, qui ne voit pas comme essentiel de lui acheter des choses pour gagner son affection. Oh, bien sûr il le fera plus tard, une fois qu’il l’aura, pour qu’elle ait de belles choses à montrer… Mais pas pendant qu’il la drague.
La conclusion, c’est qu’il y a trois règles intransgressibles en matière de dépenses d’argent pour une femme. (Si vous foirez ça, vous rentrerez chez vous, non seulement fauché, mais aussi avec votre fusil toujours chargé.) Posez-vous toujours ces questions pour savoir s’il vous faut payer :
1) Quelle est ma valeur ? Et la sienne ? si vous faites l’effort de payer, vous lui communiquez que vous pensez qu’elle vaut plus que vous.
2) Mérite-t-elle ce que je vais lui donner ? En tant que mâle dominant vous récompensez les bons comportements. Alors soyez sûrs que cette femme a fait quelque chose pour gagner votre approbation ! (J’ai récemment claqué 100 dollars pour un repas avec une fille que je vois. Je l’ai fait car elle m’avait fait la meilleure pipe de ma vie. Ne vous trompez pas ici : la seule et unique raison de payer pour un rendez-vous coûteux avec une femme est qu’elle ait fait quelque chose de particulier pour le mériter, comme vous satisfaire sexuellement.)
3) Dois- je payer en tant que mâle dominant ? Faites attention de ne jamais payer pour entraîner une femme dans votre lit, c’est une attitude de mâle dominé en manque.
Il vous faut, dès à présent, commencer à vous voir comme un homme de grande valeur . À partir de là, vous devez, en tant qu’homme de grande valeur, vous mettre en tête que oui, vous êtes intéressés par les femmes, mais sous réserve qu’elles se comportent bien.
Et aussi, vous ne devez jamais dire à une femme que vous lui achetez quelque chose pour la récompenser. Récompensez simplement ses bons comportements et évitez d’encourager les mauvais. Vous verrez que les choses vont très nettement s’améliorer.
Et lorsque vous achetez quelque chose à une femme, n’en faites jamais quelque chose d’exceptionnel. Vous pouvez dire quelque chose comme : " Je paie les cafés, c’est pas grand-chose ". Ce que cela lui communique est que vous êtes intéressé par votre interaction sociale et que vous ne prêtez même pas attention au verre que vous venez de lui offrir.
Cela implique aussi que vous ne l’emprisonnez pas. En disant," c’est pas grand-chose ", vous clarifiez le fait que vous n’attendez pas d’elle qu’elle vous rende la pareille.
" Il-m’achète-des-choses-parce-qu’il-voudra-quelque-chose-plus-tard " est un comportement que beaucoup de femmes voient comme étant manipulateur. La conséquence en est souvent que l’homme en question se voit refuser l’acte sexuel. Honnêtement, de nombreux hommes tombent dans ce piège en faisant toute une histoire des choses qu’ils achètent pour les femmes. Ne soyez pas un de ces gars-là.
Malheureusement, la femme moyenne est déjà sortie avec tellement de mecs qui lui payaient des trucs pour se la taper que, quand vous lui achetez quelque chose, cela déclenche une réaction négative automatique de sa part. « Beurk, il essaie d’acheter du sexe, » pense-t-elle, et elle vous tourne alors le dos. La femme moyenne n’est pas une prostituée et ne veut pas être traitée comme telle.
Très bien, mais que faire alors lorsque arrive l’addition ? Tout d’abord, vous ne devriez jamais emmener une femme dans un restaurant coûteux qu’après avoir couché avec elle. Une fois que ce sera fait, emmenez-la dans un super restaurant pour la récompenser.
Votre premier rendez-vous doit être quelque chose de simple et de bon marché, un café par exemple. De cette manière lorsque l’addition est là, ça n’est vraiment pas grand-chose.
Un truc de base est de se demander si vous paieriez l’addition si vous étiez avec un copain à vous au lieu d’une femme. Si la réponse est oui, alors faites-le.
Et ne vous dites pas que vous vous êtes fait avoir parce que vous avez payé l’addition pour un café. Vous ne voulez pas passer à côté d’une partie de jambes en l’air parce que vous avez été trop radin pour payer un cappuccino à 3 euros.
Le principal ici, c’est que vous compreniez pourquoi vous faites tout ça.
N’achetez jamais quelque chose à une femme et ne cédez jamais à ses demandes parce que vous pensez qu’il vous faut gagner son approbation. Au contraire, vous devez avoir à l’esprit que vous êtes un mâle dominant et que tout ce que vous pouvez faire pour elle dépend de ce qu’elle aura fait pour le mériter.
French to English: Moussa Bocoume (USC PhD Student) Essay
Source text - French La mise en cadre du souffle épique
Le souci de se servir de la caméra dans le combat social et politique est manifeste chez Sembene. A partir de ce moment, on peut s'attendre à, ce que son filmiques orienté vers la contestation voire la subversion, décrivant ou imaginant une lutte de caractère révolutionnaire, adoptent un ton épique
Certes, ses films sont des films réalistes, et non véritables épopées
Mais il existe néanmoins des liens entre l'œuvre épique et l'œuvre de propagande ou d'édification propre «au réalisme socialiste». Le cinéma soviétique des années vingt, avec «Tempête sur l'Asie» de Poudoukine, «Octobre», ou «Le Cuirassé Potemkine» d'Eisenstein donna des films «de propagande» qui furent d'admirables épopées cinématographiques.
En Afrique, par sa fonction l'épopée constitue un véhicule idéal d'une certaine « propagande » nationale ou idéologique.
Aussi ne nous a-t-il pas paru incongru en nous référant à une sorte d'archétype de l'épopée, d'essayer de montrer comment, dans « le décor mythique » du films, se trouve privilégié le « portant épique » pour reprendre la terminologie de Gilbert Durand.
B-2-1/ La dimension épique dans Guelewaar
Originaire d'un pays riche en traditions épiques, où aujourd'hui encore les griots chantent volontiers les exploits légendaires des guerriers du passé, Ousmane Sembène connaît les épopées traditionnelles. En témoignent dans Emitaï, qui relate un affrontement récent, les allusions nombreuses aux chants épiques anciens, significatifs de la volonté de relier les combats du présent aux épisodes glorieux du passé le plus lointains.
A l'influence de la tradition épique du Sénégal s'ajoute sans doute la culture que s'est donnée Sembène : militant syndicaliste, marxiste de conviction, il n'a pu manquer de s'imprégner des films russes à tonalité épique des Eisenstein, Poudovkine, Dovjenko ; il en parait quelque chose dans ses films.
Les études antérieures de ses films ont surtout porté sur le caractère militant de Guelewaar ; la dimension épique a rarement retenu l'attention des commentateurs. C'est pourtant cette dimension qui fait la valeur de ce film, le sauvant de ce que « l'engagement » peut avoir d'édifiant comme de ce que « le document social » peut comporter de platitude.
Non que le réalisme, esprit militant et tonalité épique nous paraissent inconciliables, loin s'en faut : volontiers manichéenne, l'épopée véhicule un contenu idéologique, simple. Mais la dimension épique, mythique, explique pourquoi l'œuvre atteint à l'exemplarité, alors que, tant de textes filmiques pareillement « engagés » et appliqués à l'observation minutieuse des réalités sociales ne parviennent qu'à être platement ennuyeux ou sottement édifiants, faute d'avoir su ébranler les couches les plus profondes de l'imaginaire du spectateur, d'avoir su emprunter un peu de leur éclat aux vieux mythes apparemment assoupis, tel un filon de métal précieux au tréfonds de la mémoire collective.
Guelewaar nous parait tendre vers la narration épique par la richesse des procédés épiques mis en œuvre dans le film.
-l'accentuation du héros.
Un des procédés d'accentuation du héros se situe d'abord dans la mise en scène du mythe d'origine qui est une base sérieuse pour la constitution d'une épopée. Le titre emprunté à une périphrase wolof. Henry Suhamy définit cette figure comme « une désignation descriptive qui renforce un mot »40. Elle allonge une idée et lui donne plus d'intensité. Elle permet de mieux mettre en relief la noblesse de celui auquel se réfère le destinataire et cela par le biais d'une image éclatante. Ce lignage investit Pierre Henri Thioune d'une sorte de légitimité dans notre dans son rôle d'inspirateur et de guide charismatique puisque appartenant à la couche la plus élevée ou à la famille dirigeante.
40 – Suhamy Henry, Les Figures de style, coll. Que sais-je, P.52
Mais le plus immédiatement perceptible des procédés d'accentuation du héros employé par Ousmane Sembène est d'un usage fréquent au cinéma tout comme au théâtre : il consiste à retarder l'entrée en scène du personnage, afin que cet être dont il est sans cesse question, dont l'importance sur les événements narrés est déterminante, acquiert, par son absence même, une dimension quasi mythique. Ainsi, va-t-il de Guelewaar qui n'apparaît qu'à la troisième séquence par le truchement d'une analepsie qui campe le héros dans le bureau de Gora venu qui campe le héros dans le bureau de Gora venu qu'il était faire une déposition, au terme d'une longue attente du spectateur. Le sens de cette apparition est propre à frapper les imaginations et à renforcer son prestige. Elle s'inscrit donc dans une aura mythique.
Dans le sens de la valorisation s'inscrit la visée esthétique. De multiples plans par le jeu du cadrage et de l'éclairage, soulignent le charisme et la noblesse de Guelewaar.
Le prestige et le charisme de Guelewaar s'imposent même à des personnes qui, dans la société traditionnelle, devaient l'égaler ou l'emporter sur lui en prestige social : ainsi en va-t-il de Gor Mag, l'aîné des anciens, des lamanes Alfred, Guignane qui n'en déclare pas moins publiquement :
« Même mort, Pierre Henri nous lance des défis…Vivant, il nous surprenait par son courage »
Ce témoignage sonne comme une sorte d'épiphanie héroïque. En effet, le contraste entre le choix résolu, l'engagement irréversible et les reculades et les reniements de ses compagnons constituent le plus immédiatement perceptible des procédés « d'accentuation du héros » mis en œuvre par Ousmane Sembène.
Guelwaar ne s'est pas contenté d'être un rhéteur qui se nourrit et alimente les autres de discours flamboyants comme des feux d'artifices illuminant de loin la sombre réalité. Il a été l'homme qui a compris, d'énoncé et annoncé. Il a essayé de transformer. Il frappe l'imagination et s'impose à la mémoire des hommes. Car le destin délibérément assumé en risquant, en acceptant la mort pour une cause supérieure, éblouit l'esprit. Le mythe du héros est ainsi renforcé dans la mentalité populaire car il est l'incarnation au plus haut point des vertus du groupe.
Son aventure, comme dans l'épopée classique ; se clôt par l'apothéose ; car l'épopée n'est nullement incompatible avec la fin tragique, comme en témoigne la mort de Roland, ou celle de Soundjata. Il appartient au Lamane Alfred de lui rendre un éloge funèbre : « Guelawaar est un élu de Dieu ».
-Les compagnons épiques
Il est un procédé d'accentuation surabondamment représenté dans le film de Ousmane Sembène : la redondance du héros par sa confrontation à toute une galerie de « compagnons héroïtique », en l'occurrence Gor Mag , Etienne les lamanes dont les personnalités diverses s'affirment face a l'anonymat des foules qu'ils encadrent, sans qu'aucun d'eux ne puisse cependant prétendre égaler en prestige le héros principal.
C'est là un type de duplication du héros qui est mis en œuvre par l'adjonction d'un personnage en quelque sorte complémentaire du héros principal, suffisamment proche de lui pour, parfois, se permettre de le reprendre .C est, aux cotés de Roland le Preux, la présence de Olivier le Sage, de Manding Bory aux cotés de Soundjata.
Ce rôle est tenu dans le film de Ousmane Sembène par Gor Mag. Personnage lucide et profond, il a su, par de belles paroles, reverdir de la vie de Guelewaar en donnat le legs imputrescible qui enjambe l'espace et le temps :
« Notre va à la dérive (…) le vol, le détournement de deniers publics sont devenus valeurs héroïques ... L'atrophie est profonde… Nous vivons de mendicité. C'est en dénonçant cela que Pierre Henri a été tué ».
Un autre procédé de redondance du héros est mis en œuvre dans le personnage de Etienne. Il apparaît comme une sorte de doublet du héros principal. Après que Guelewaar eut interprété, il revenait à Etienne de transformer.
Les antihéros
Si, comme l'écrit Gilbert Durand « la redondance littéraire du héros peut aller jusqu'à l'adjuvant inversé, traite ou existant pour le héros, l'antithèse est en quelque sorte, redoublement de la thèse, redoublement négatif » 41. Il nous faut faire une place à Baye Aly, Mor Ciss, le député, le reflet et, dans une certaine mesure, Barthélemy et quelques compagnons de Guelewaar.
Contrairement à son père qui, avec fi et détermination, s'est engagé dans le combat au péril de sa vie, Barthélemy, revenu dans son pays imbu des valeurs occidentales qu'il a côtoyées pendant son séjour en Europe, est sans égard pour ses compatriotes. Gora le gendarme, excédé par ce renégat, lui adresse une mise à demeure :
« Lorsque vous aurez récupéré le corps de votre père, vous retournerez vivre en France …n'est ce pas…une fuite de votre part…Même pacifique une révolution ne se fait pas par procuration »
Les autres personnages traîtres à leur peuple s recrutent dans les couches supérieures de la population : notables, députés. Si le cinéaste fait preuve du plus grand respect pour la foi des humbles, ainsi qu'en témoignent les nobles figures de Gor Mag, l'imam, Nogoy Mary, il ne cesse de donner une image dépréciative de cette caste de personnages dont allusion a été faite. Pour des raisons essentiellement électoralistes- car craignant un effritement de son électorat à la veille des consultations électorales- le député est farouchement opposé à l'ouverture de la tombe et préfère organiser une séance de distribution de dons pour acheter ainsi les consciences. Sn discours, à l'image de l'homme, est filandreux, d'une éloquence démagogique et creuse.
Députés, notables, représentants de l'administration, en somme les traitres, sont spécialistes du discours captieux, alors que Guelewaar est le champion du Verbe qui invite à conquérir le droit à une vie plus digne : C'est dans cet usage antithétique de la parole que réside l'opposition la plus signifiante, la plus efficace quant à l'exaltation du héros et du profil bas adopté par les traitres.
L'influence de la tradition épique explique aussi l'ampleur des scènes de foules, d'émeutes qui servent à exacerber l'intensité dramatique du récit. En effet, le zèle et le fanatisme des musulmans comme des chrétiens font basculer la situation dans une « guerre de religion », à travers laquelle des « héros » se taillent une part de « gloire », par la bravoure comme en témoigne la scène où Ismaïla terrasse Ndoffène, s'installe sur sa poitrine et lui administre des coups. En proie à une folle colère, les musulmans vont
41-Durand Gilbert, Les Structures anthropologique de l'imaginaire
Prendre l'Abbé Pierre pour cible, qui se retrouvera la tête cassée. La plongée donne la mesure de la violence et de la cruauté des affrontements. L'imam va se départir de sa courtoise et de sa pondération naturelle et assener un coup de gourdin à Yama et, à la stupeur générale, prononce de gros mots.
La traduction héroïque est si vivante que le chant de Babaa Maal scande le texte de Sembene et le chant confère à l'histoire contée un contrepoint épique .C'est là que l'image tire réellement de la musique le meilleur de son expression ou plutôt de sa suggestion.42 « La musique soutient le rythme la plupart du temps ». Sans la musique le texte épique perd son envoi et le griot perd son inspiration .Il pourra certes un récit qui rejoint la chronique, sans qualités littéraires particulières.43
La dimension ainsi atteinte par Guelwaar sauve se film des écueils qui guettent le film militant : didactisme appuyé, thèse trop apparente, personnage emblématique sans épaisseur réelle, ton identifiant, tous défauts que Ousmane Sembene n'a pas toujours su éviter dans ses autres films.fIN
La forme cinématographique est un rapport neuf, sans précédent pour les peuples africains dont l'imaginaire s'exprime à travers la création verbale. Néanmoins, le cinéaste africain n'aborde pas la création filmique les mains vides, car il agrandi dans un milieu qui a une entité spécifique, des formes propres de discours, une sensibilité qui s'exprime par des formes particulières.
Faudrait-il s'étonner de retrouver cette représentation, ces formes du discours et cette sensibilité dans le filmique africain ? En effet, un examen attentif de la filmographie des cinéastes africain révèle sans aucun doute que l'adaptation de la tradition orale et des formes esthétiques et stylistiques empruntées à cette tradition est ce qui constitue la spécificité du film africain. Pétris de culture populaire comme Ousmane Sembene, dont l'écriture, caractéristique de l'oralité feinte, procède par sa transposition des modèles de communication discursifs, narratifs, pragmatiques et aussi d'un type de discours hérité de la tradition orale dans le filmique. Le recours à l'oralité et à ses procédés dénoterait bien évidemment l'identité africaine du film. Il importe, dès lors, de voir comment, au-delà des origines européennes du cinéma, le cinéaste l'utilise en partie pour y mettre en scène l'oralité.
Translation - English The frame of epic lyricism (storytelling)
The need to use the camera for a social and political goal is obvious in Sembene’s work. One can then eventually expect his art to tend to protestation or even subversion. In addition he could be expected, while relating or fantasizing a revolutionary struggle, to embrace an epic tonality.
Undoubtedly, his movies are realistic and cannot be considered as (genuine) epics.
However, links can be found between epics and pieces of propaganda or edification, which were peculiar to the “socialist realism”. The 1920’s Soviet cinema ( gave birth) to propaganda pieces that were also admirable cinematic epics such as («Tempête sur l'Asie» de Poudoukine, «Octobre», ou «Le Cuirassé Potemkine» d'Eisenstein “ In Africa, through its very function, the epic (provides) the ideal medium for national or ideological propaganda.
Thus, it did not seem inappropriate, while referring to an archetypical epic, to intend to show (prove) how, within the very own “mythical setting” of cinema, the “portant epique”(epic support), as Gibert Durand calls it, is favored.
Guelewaar’s epic dimension
Being native of a country where epic traditions abound, where, still today, griots are keen to sing the old days warriors’ feats (exploits), Ousmane Sembene is familiar with the traditional epics. As a testimony, one can find in Emitaï, which relates an ancient confrontation, numerous references to the old epic (songs). Such odes were significant of the will to link the present fights to the glorious events of the old days.
Sembe’s own culture can be added to the influence of the Senegalese epic tradition, he both was an union activist and a confirmed(devot) Marxist. He obviously has been influenced by the epic tonality of the Russian movies of Eisenstein, Poudovkine or Dovjenko. This can hardly remain unnoticed when watching Sembe’s work.
The early studies of his films were mainly concerned with the Guelewaar activist side; its epic dimension rarely caught the commentators’ attention. It is indeed in such an epic dimension that lies the true value of this movie, preventing it from the “political commitment” edification and from the “social document” platitudes.
Although the realism, the activism and the epic tonality appear to be far from incompatible; the epic conveys a simple ideological content. But the epic and mythical dimension is the reason why such a piece of work reaches exemplarity while so many other “so-called” activist movies or texts barely manage to be highly unentertaining or foolishly edifying as they apply themselves to the meticulous observation of social realities.
Such works never succeeded in moving the deepest level of the spectator imagination, in renewing the old myths splendor. Splendor which seems to be dormant, like a precious mine lying within the collective memory.
Guelewaar seems to be striving for the epic narration when one considers the abundance of epic processes used during the movie.
The Hero emphasis
One of the first means to emphasize the hero can be found within the setting of the original myth, it is one of the main basis for the constitution of an epic.
the title “Guelewaar” is borrowed from a wolof circumlocution)
Henry Suhamy defines a circumlocution as being “a descriptive designation which consolidates a word” 40 it extends an idea and its intensity. It allows a better emphasis of the nobility of the hero, who the reader will refer himself to, by the means of a radiant image. Such a tradition legitimizes Pierre Henri Thioune in his inspirational and charismatic guide since he belongs to the upper or ruling class.
The most visible means to emphasize the hero is frequently used both in cinema and theatre. It consists in delaying the first appearance of a character, in order to confer a quasi-mythical dimension to the character that everyone is talking about and whose importance upon the upcoming events will be decisive. The hero will be granted such an aura through his very absence.
Guelewaar follows this rule since he only appears for the first time during the third sequence. After having waited such a long time to see him, the spectator will discover the hero during a scene where he has come to make a deposition in Gora’s office. The purpose of such an appearance is to mark imagination and to build up prestige, to set a mythical aura.
Aesthetical ideas(visees) as well reinforce the hero valorization. The light and the framing composition underline the charisma and the grandeur of Guelewaar.
Guelewaar’s charisma and prestige establish themselves upon other characters who would be supposed, in a traditional point of view, to have a greater social prestige than him.
Such is the case of Gor Mag, the oldest ancient, and of Alfred Guignane who even publicly declares: “ Even dead, Pierre Henri is challenging us, when he was still alive, he amazed us with his bravery.”
Such a testimonial sounds like a heroic celebration(EPIPHANY). Indeed, the contrast between determined choice, irreversible commitment and the withdrawals or rejections of his companions constitute the most obvious mean of “hero emphasis” used by Ousmane Sembe.
Guelewaar’S is not merely a rhetorician who feeds his peers with flamboyant speeches that enlighten a dark reality. He was the one who understood, denounced and announced. He tried to transform things. He strikes imaginations and establishes himself as the mankind memory. (Deliberately assuming one’s fate, which will guide you to death for a greater cause, fascinates the mind.) The myth of the hero is thus reinforced in people’s mind, since Guelwaar is the incarnation of the best virtues of the group as a whole.
His adventure, as in all classic epics, ends up with an apotheosis. The epic is completely compatible with a tragic ending, as testified the deaths of Roland or Soundjata. Fred the Lamane gives Guelewaar his funeral oration: “Guelewaar was chosen by God.”
The Epic Companions
An emphasized technique that is overly used in Sembe’ s film: the hero’s redundancy as he is confronted to(by) a bunch of “heroic companions”, for exemple, Gor Mag or Etienne les lamanes, their personalities separate themselves from the confidentiality of the crowd. However, none of them will ever be able to equal the hero’s prestige.
Gor mag holds this role in sembe ‘s movie. He is a deeply lucid character, who managed, with his words, to revive Guelewaar ‘s life , to have it bridge the gap between space and time.
“Our world is going adrift…The theft and corruption of public money have become heroic values…This is a deep atrophy…we have all become beggars. Pierre henri was killed because he wanted to denounce it”
Another hero redundancy technique is used through the character of Etienne. He appears as the main hero double. After Guelewaar’s interpretation, Etienne had to transform.
Antiheroes.
If, as wrote Gilbert Durand, “the hero literary redundancy can go as far as the exact opposite of the hero that can exist, the antithesis is somehow, the doubling of the thesis, a negative doubling” 41 we must also consider Baye Aly, Mor Ciss, the deputy, the reflection and, to some extend, Barthelemy and a few other of Guelewaar’s companions.
Unlike his father, who, with persistence and determination, committed to the fight at his own life’s peril, Barthelemy, coming back to his native country imbued with western values he learned during his stay in Europe, appears to be merciless for his fellow-countrymen. Gora, the policeman, infuriated by such a renegade tells him:
“As soon as you have your father’s body back, you will go back to France… are you not fleeing… even pacifist revolutions cannot be done by proxy”
The other characters that betrayed their people recruit within the highest classes of the population: notables and deputies. While the filmmaker show the deepest respect for the humbles’ faith, as testified by the nobles figures of Gor Mag, the imam, Nogoy Mary, he gives a constantly pejorative image of the upper classes. For merely electoral reasons, because he fears the erosion of supporters on the day before the elections, the deputy’s oppose firmly that the grave should be opened and prefer to set up a donation session in order to bribe the consciences (conscious). His speech, as himself, seems to be of a demagogic and empty eloquence.
Deputies, notables, administration representatives, in other words, the traitors, are the specialist of the…demagogic speech, whereas G is the speech champion, which invites the people to ask for their right to a more dignified life. The most obvious opposition can be found in such an antithetic use of the speech. This is also the most effective opposition; it exalts the hero while showing the true face the traitors.
The epic tradition influence explains also the crowd and riots scenes scope. Their mean is to exacerbate the dramatic intensity of the story. Both the muslims and the Christians enthusiasm leads the conflict to become a war of religion in which Some heroes illustrate their courage during those fights, for example Ismaila as she will make Ndoffene fall and will step on his chest , beating him up.
Mad with rage, the muslims will take l’abbe Pierre for a target and will break his head. One can realize the confrontations violence and cruelty thanks to the use of Sembene ‘s camera. The imam will forget his usual courtesy and calm temper to hit Yama with a bludgeon, he will even, to everyone’s astonishment, utter ungracious words.
The heroic translation is so vivid that Babaa maal chants the words of Sembene while giving to this story an epic counterpart. It is precisely where the image gets the best from the music’s expression, or better, suggestion 42. “ the music follows the rhythm, most of the time.” Without music the epic text loses its character, and the griot loses his inspiration. The story will relates the facts, but without any outstanding qualities.
Guelewaar reaches a dimension that saves the movie from the usual “activist movie” pitfall: omnipresent didactism, obvious thesis, characters without any substance, edifying tonality, and many other flaws that Ousmane Sembene did not always avoid in his other movies.
English to French: Surveys for the French Customers of an international Bank
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My name is Matthieu I am a native French Speaker (from France), I am new on this website but I have been working for several years now as a free lance translator (English<>French).
Please, feel free to review my portfolio to see samples of my previous works.
Thank you
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