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English to French: anthropology in health research: from qualitative methods to multidisciplinarity General field: Medical Detailed field: Anthropology
Source text - English Summary points
Emphasis on methods in health related qualitative research obscures the value of substantive knowledge and theoretical concepts based in some social sciences
Anthropology views the familiar afresh through focusing on classification and on understanding rationaly in social and cultural context
It highlights the value of data gathered informally and the differences between what people say, think, and do
Its emphasis on empirical particularity helps to avoid inaccurate generalisations and their potentially problematic applications
Truly multidisciplinary research needs to incorporate the conceptual frameworks and knowledge bases of participating disciplines
Translation - French Résumé
L'accent mis sur les méthodes de la recherche qualitative relative à la santé occulte la valeur de la connaissance substantive et des concepts théoriques basés sur diverses sciences sociales
L'anthropologie revisite le familier en se focalisant sur la classification et la connaissance de la rationalité dans un contexte social et culturel
Elle privilégie la valeur des données recueillies de façon informelle et les différences entre ce que disent les individus, ce qu'ils pensent, et ce qu'ils font
L'importance qu'elle accorde à la particularité empirique contribue à éviter des généralisations imprécises et leurs éventuelles applications problématiques
La recherche réellement pluridisciplinaire doit inclure les structures conceptuelles et les bases de connaissance des disciplines participantes
English to French: Evidence based guidelines or collectively constructed "mindlines?". Ethnography study of knowledge management in primary care General field: Medical Detailed field: Anthropology
Source text - English “Mindlines”
In short, we found that clinicians rarely accessed, appraised, and used explicit evidence directly from research or other formal sources; rare exceptions were where they might consult such sources after dealing with a case that had particularly challenged them. Instead, they relied on what we have called “mindlines”, collectively reinforced, internalised tacit guidelines, which were informed by brief reading, but mainly by their interactions with each other and with opinion leaders, patients, and pharmaceutical representatives and by other sources of largely tacit knowledge that built on their early training and their own and their colleagues’ experience. The clinicians, in general, would refine their mindlines by acquiring tacit knowledge from trusted sources, mainly their colleagues, in ways that were mediated by the organisational features of the practice, such as the nature and frequency of meetings, the practice ethos, and its financial and structural features, including the computer system.
When describing what we call mindlines, clinicians told us, for example, that they were grown from experience and from people who are trusted; they were “stored in my head” but could be shared and tested and then internalised through discussions, while leaving room for flexibility. Once compiled, each individual practitioner’s mindlines were adjusted by checking them out against what was learnt from brief reading or from discussions with colleagues, either within or outside the practice. The mindline might well be modified when applied to an individual patient after discussion and negotiation during the consultation; at this stage patients’ ideas of what is the appropriate evidence about their particular case (their own personal history, what their family has experienced, what they have read in the media, and so on) could influence the application or even the continuing development of the mindline. Further adjustment might subsequently happen during swapping stories with colleagues or in audit or “critical incident meetings”. In those rare challenging cases in which practitioners felt they did not have a ready mindline, they would later read up or ask around so that they could develop one for the future.
Mindlines were therefore iteratively negotiated with a variety of key actors, often through a range of informal interactions in fluid communities of practice, interactions with and experience of patients and practice meetings. The result was day to day practice based on socially constituted knowledge.
We observed the same pattern of knowledge management in the “quality practice award” and other practice meetings. When formulating a practice protocol for the management of a given condition, clinicians relied on one of the partners with a special interest in that field to produce a summary of current best practice. These discussions sometimes resulted in modification of the computerised protocols that were available to prompt clinical actions, but which were not often actually needed as they had already been internalised through the discussions.
Translation - French « Lignes directrices de l’esprit »
Pour résumer, nous avons constaté que les cliniciens avaient rarement accès aux résultats explicites directement issus de la recherche ou autre source officielle, ils les évaluaient et les utilisaient rarement, à quelques exceptions près où ils étaient susceptibles de recourir aux dites sources face à un cas qui les avaient particulièrement mis à l’épreuve. A la place, ils se sont fiés à ce que nous avons appelé les « lignes directrices de l’esprit », conseils tacites collectivement renforcés et intériorisés, qui ont été guidées par de brèves lectures, mais principalement par leurs interactions entre eux ainsi qu’avec des leaders d’opinions, des patients, des représentants pharmaceutiques, et d’autres sources de connaissances largement tacites à la base de leur apprentissage et de leur propre expérience, de même que celle de leurs collègues. De manière générale, les cliniciens amélioraient leurs lignes directrices de l’esprit en acquérant des connaissances tacites à partir de sources fiables, leurs collègues dans la majorité des cas, par l’intermédiaire d’éléments qui organisaient leur pratique, tels que la fréquence des réunions, l’esprit de pratique allié à ses caractéristiques financières et structurelles, dont le système informatique.
En décrivant ce que nous avons appelé les lignes directrices de l’esprit, les cliniciens nous ont dit, par exemple, qu’elles se développaient grâce à l’expérience acquise et aux personnes dignes de confiance ; elles se retrouvaient « enregistrées dans mon esprit » mais pouvaient être partagées et testées, puis intériorisées à travers des discussions, tout en n’excluant pas la flexibilité individuelle. Une fois compilées, les lignes directrices de chaque praticien étaient ajustées en les confrontant aux connaissances acquises par le biais des brèves lectures ou des discussions entre collègues, soit à l’intérieur du cabinet, soit à l’extérieur.
La ligne directrice pouvait alors être modifiée lorsqu’elle s’appliquait à un patient individuel après discussion ou négociation pendant la consultation. Au cours de cette étape, la conception des patients sur les résultats appropriés à leur cas précis (leur propre histoire personnelle, le vécu de leur famille, leur lecture des médias, etc) pouvait avoir une influence sur l’application, voire même l’évolution continue de la ligne directrice de l’esprit. Des ajustements plus importants pouvaient donc intervenir a posteriori au cours d’échanges d’histoires entre collègues, d’un contrôle, ou de « réunions d’incident critique ». Dans ces rares cas qui posaient problème et où les praticiens avaient le sentiment de ne pas disposer d’une ligne directrice de l’esprit adéquate, ils se renseignaient par la suite au travers de lectures, ou posaient des questions à leur entourage de façon à pouvoir en développer une à l’avenir.
Les lignes directrices de l’esprit se négociaient par conséquent de façon répétitive à l’aide de divers acteurs majeurs, souvent par le biais de plusieurs interactions informelles dans des communautés de pratique fluides, d’interactions avec les patients et l’expérience qui en découlait, et de réunions pratiques. Le résultat obtenu se présentait sous forme de pratique quotidienne, basée sur des connaissances socialement établies.
Nous avons observé le même cas de figure en matière de gestion des connaissances au cours de « la récompense pour la qualité de pratique » et autres réunions pratiques. En émettant un protocole de pratique pour la gestion d’une maladie donnée, les cliniciens se fiaient à l’un des partenaires qui démontrait un intérêt spécifique dans le domaine pour établir un résumé de la meilleure pratique du moment. Ces discussions aboutissaient parfois à une modification des protocoles informatiques disponibles pour des actes cliniques rapides, mais qui n’étaient en réalité pas souvent nécessaires dans la mesure où ils avaient déjà été intériorisés grâce aux discussions.
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Experience
Years of experience: 15. Registered at ProZ.com: Dec 2009.
After being a French and Spanish teacher in a college in England, where I lived four years, I decided to be a translator, as languages have always been a passion.
I studied translation in Lyon and got my diploma in July 2009.
I now work as a freelance translator and specialise in the medical field.
I also did film subtitling, which I greatly enjoyed and am highly interested in the media and art fields, among others.
Keywords: french, medical, websites, film/documentary films subtitles