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French to English: Akanda et Pongara : Plages et Mangroves General field: Science Detailed field: Environment & Ecology
Source text - French Dans les eaux côtières, seules les sternes ou hirondelles de mer sont abondantes. Ce sont des oiseaux blanc dessous, gris clair dessus. Ils ont un capuchon noir, mais en dehors de la saison de nidification leur front devient généralement blanc. La plupart des espèces chassent en plongeant sur leurs proies. A l’exception de la sterne arctique Sterna paradisea, les espèces qui peuvent être observées au Gabon ne fréquentent pas la haute mer, mais les eaux côtières, les estuaires et les lagunes.
La plus grande est la sterne caspienne Sterna caspia, reconnaissable à son gros bec rouge corail. C’est une espèce quasi cosmopolite avec des populations dans les régions tempérées et dans les régions tropicales. Au Gabon, elle niche sur les bancs de sable du bas Ogooué et des grandes lagunes de la côte sud. Un oiseau trouvé dans la région de Libreville avait été bagué dans une colonie de la mer Baltique ; les sternes caspiennes vues au Gabon peuvent donc être aussi bien des migrateurs d’origine paléarctique que des nicheurs locaux. La sterne royale Sterna maxima est un peu plus petite. Son bec est moins massif et plus jaune (Figures 84 et 85). Présente toute l’année, elle est nettement plus abondante de septembre à avril quand près de 10 000 individus fréquentent les eaux gabonaises. Le Gabon constitue en effet un important “quartier d’hiver” pour cette espèce qui niche surtout en Mauritanie et au Sénégal. Bien qu’on la trouve en grands nombres sur les bancs du parc national d’Akanda, elle chasse sur les eaux de la baie de la Mondah et parfois sur les grandes rivières, jamais sur les mares résiduelles des bancs.
Durant l’hiver boréal, de septembre à mars ou avril, apparaissent aussi quatre espèces d’origine eurasiatique. La sterne caugek Sterna sandvicensis est la plus grande, mais elle est nettement plus petite que la sterne royale. Elle se reconnaît à son bec, long, fin et noir à pointe jaune, ainsi qu’à sa queue plutôt courte (Figure 85). Le 9 décembre 1999, un exemplaire bagué en juillet 1978 comme poussin en Ecosse fut trouvé mourant devant Libreville. La sterne pierregarin Sterna hirundo est un peu plus petite avec un bec noir plus court — en saison de nidification il est rouge vif — et la queue plus longue (Figure 86). En période hivernale, les immatures ont aussi des marques sombres sur le dos et sur les ailes. Ces deux espèces passent régulièrement en petits nombres et sont très courantes dans l’estuaire et la baie de la Mondah. La caugek reste cependant sur les grandes étendues d’eau des baies et de l’estuaire, comme la royale, tandis que la pierregarin entre plus volontiers dans les rivières des mangroves. Elle chasse aussi souvent sur les mares résiduelles des bancs ou autour des camps de pêcheurs. En octobre, elle passe en grand nombre devant la pointe de Nyonié. Certains individus, fatigués ou malades, se reposent alors sur les plages et se laissent approcher de très près. Il existe toutefois une population qui niche sur les bancs de sable du bas Ogooué (Voir Loango et Mayumba). Son bec reste généralement noir, même durant la période de nidification.
La sterne arctique ressemble beaucoup à la pierregarin. En plumage d’hiver, les deux espèces sont d’ailleurs difficiles à distinguer. Mais l’arctique possède un bec plus court, une queue plus longue et des ailes plus transparentes. Elle passe au large des côtes gabonaises, en route vers ses lieux d’hivernage de l’océan Antarctique, et ne s’attarde pas dans le golfe de Guinée. Les quelques oiseaux trouvés sur les plages sont généralement des jeunes, malades ou épuisés.
Translation - English In the coastal waters, only the terns or sea swallows are abundant. These birds are white underneath, light grey above. They have a black hood, but outside the nesting season their forehead generally becomes white. Most of the species hung by diving into the water for their prey. With the exception of the Arctic tern Sterna paradisea, the species that can be observed in Gabon do not frequent the high seas, but the coastal, estuarine, and lagoon waters.
The largest is the Caspian tern Sterna caspia, recognisable by its large coral-red beak. It is a quasi-cosmopolitan species with populations in the temperate and tropical regions. In Gabon, it nests on the sandbanks of the Lower Ogooué and the large lagoons of the southern coast. One bird found in the Libreville area had been tagged in a colony on the Baltic Sea; Caspian terns seen in Gabon can thus just as likely be Palaearctic migrants as local nesters. The royal tern Sterna maxima is a bit smaller. Its beak is less thick and more yellow (Figures 84 and 85). Present all year long, it is much more abundant from September to April when nearly 10,000 individuals frequent Gabonese waters. Gabon is, in fact, an important “winter neighbourhood” for this species that nests mostly in Mauritania and Senegal. Even though one finds it in large numbers on the shores of Akanda National Park, it hunts in the waters of Mondah Bay and sometimes on the large rivers, never in the coastal tide.
In the boreal winter, from September to March or April, four other species of Eurasian origin appear. The Sandwich tern Sterna sandvicensis is the largest, but it is much smaller than the royal tern. It is recognisable by its beak: long, thin, and black with a yellow spot, as well as by its short tail (Figure 85). On 9 December 1999, a specimen that had been tagged in July 1978 as a fledgling in Scotland was found dying off the shore of Libreville. The common tern Sterna hirundo is somewhat smaller with a shorter black beak – in the nesting season it is bright red – and a longer tail (Figure 86). In the Winter, the juveniles also have dark markings on their back and wings. These two species regularly pass in small numbers and are very common in the Estuary and Mondah Bay. The Sandwich tern remains, however, on the large expanses of water in the bays and the Estuary, like the royal tern, while the common tern readily enters the rivers and mangroves. It also often hunts in the coastal tide pools or near fishing camps. In October, it passes in large numbers off of Point Nyonié. Certain individuals, fatigued or ill, rest on the beaches and allow themselves to be approached to very close distances. There is, however, a population that nests on the sandbanks of the Lower Ogooué (see Loango and Mayumba). Its beak generally remains black, even during the nesting period.
The Arctic tern strongly resembles the common tern. In winter plumage, the two species are difficult to differentiate. But the Arctic tern has a shorter beak, a longer tail, and more transparent wings. It passes the Gabonese coast offshore, on its way to its wintering grounds in the Antarctic Ocean, and doesn’t spend much time in the Gulf of Guinea. The few birds found on the beaches are generally juveniles, ill, or exhausted.
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Translation education
Graduate diploma - San Diego State University
Experience
Years of experience: 21. Registered at ProZ.com: Feb 2011.