Italian to French: Azienda Italia General field: Bus/Financial | |
Source text - Italian L’apparato produttivo italiano ha visto grandi cambiamenti negli ultimi decenni, basti pensare che il settore agricolo occupava nel 1951 il 42% della popolazione attiva, e nel 1996 solo l’8%.
L’industria oggi occupa il 28% della manodopera, cifra abbastanza alta se si pensa che tra gli altri Paesi industrializzati solo Germania e Giappone hanno percentuali superiori. E il settore dei servizi oltre il 60%.
I punti di forza dell’apparato produttivo italiano stanno nella capacità di adattamento alle evoluzioni del mercato, quindi nell’innovazione e nella flessibilità. Esso infatti è costituito da un tessuto di piccole e medie aziende (nel 1991 il 63% degli occupati dell’industria lavorava in imprese di meno di 100 addetti).
Tra i punti di debolezza ricordiamo la pressione fiscale (imposte e contributi sociali), pari al 44% del PIL, superiore alla media europea ma inferiore alla Francia (46%), la rigidità salariale (contrattazione a livello nazionale), la rigidità normativa (benché oggi sia ammesso il lavoro interinale), il divario tra Nord e Sud. Tutti questi elementi influiscono sul costo del lavoro e quindi sulla competitività delle aziende italiane.
| Translation - French Le système productif/ de production italien a connu de grands changements au cours de ces dernières décennies. Il suffit de penser que le secteur agricole employait en 1951 42% de la population active et en 1996 seulement 8%.
Aujourd’hui, l’industrie emploie/occupe/embauche 28% de la main d’œuvre, un chiffre assez élevé si on pense que parmi les autres pays industrialisés, seulement l’Allemagne et le Japon ont des pourcentages supérieurs. Le secteur des services se lève au-delà de 60%.
Les points forts du système de production italien résident dans la capacité de s’adapter aux évolutions du marché, donc dans l’innovation et la flexibilité. En effet, il est composé de/ constitué par un ensemble/un tissu de petites et moyennes entreprises (en 1991 63% des salariés travaillaient dans des entreprises de moins de 100 personnes).
Parmi les points faibles on peut mentionner/rappeler la pression fiscale (impôts et cotisations sociales), égale à 44% du PIB, pourcentage supérieur à la moyenne européenne mais inférieur à la France (46%), la rigidité des salaires (Conventions collectives au niveau nationale), la rigidité réglementaire (bien que le travail intérimaire soit accepté de nos jours), l’écart entre Nord et Sud. Tous ces éléments ont une incidence le cout de la main-d’œuvre et par conséquent la compétitivité des entreprises italiennes.
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