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Recherche traducteurs adaptateurs (sous-titrage) Thread poster: Sabrina Boyer
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Bonjour, je lis fréquemment les messages de ce forum, très instructif par ailleurs. J'aimerais savoir si parmi vous se trouvent des traducteurs-adaptateurs, débutants ou "confirmés", afin de discuter un peu de la traduction dans le milieu de l'audiovisuel. Je débute dans ce secteur (cette jungle ?) et je me sens un peu esseulée ! Je remercie d'avance les bonnes âmes charitables qui voudront bien m'accorder un peu de temps... Sabrina. | | |
00000000 (X) English to French + ...
Bonjour Sabrina, Peut-être que si tu commençais à parler d'un sujet spécifique (de préférence, un problème ou une question), tu aurais plus de réponses. Bye! Esther | | |
Mamie (X) Spain Local time: 02:48 French to Spanish + ... Si je peux... | Dec 19, 2004 |
Il y a 2 ans j'ai traduit le scenario d'un film moderne de l'español au français C'était assez difficile à cause de l'argot et des *gros mots* que souvent je ne connaissait même pas. Je m'en suis bien sortie quand même en ayant recours à des amis. Si tu en parles plus longuement peut-être que je pourrais t'aider. Mamie. | | |
Une question qui en appelle une autre | Dec 20, 2004 |
Bonjour, De mon côté, j'aimerais bien savoir comment on rentre dans ce monde-là. Raconte Emmanuelle | |
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Helene Diu France Local time: 03:48 Member (2004) English to French Sous-titrage | Dec 20, 2004 |
Emmanuelle Daburger wrote: Bonjour, De mon côté, j'aimerais bien savoir comment on rentre dans ce monde-là. Raconte Emmanuelle Si je puis me permettre de donner les quelques infos que je possède sur le sous-titrage, notamment... A moins de sortir d'une formation spécialisée (il y en a une à Lille, je crois), comme dans beaucoup de secteurs, il y a une part de hasard qui fait qu'on rentre dans l'adaptation et le sous-titrage. Un stage, une réponse à annonce... Ou alors c'est par l'intermédiaire de quelqu'un déjà dans le métier. Ou bien comme tout un chacun on envoie un CV aux boîtes spécialisées ! Pour ce que j'en sais, le secteur du sous-titrage pour les sorties en salle est "blindé", la chasse gardée de grosses boîtes et de gens depuis longtemps dans le métier. Pour y rentrer, bagou, persévérance et relations sont sans doute des atouts essentiels ! L'industrie du DVD et la télévision offrent sans doute plus de travail aux sous-titreurs. Ces derniers travaillent souvent sur des logiciels spécifiques méga-chers (Trados est bon marché à côté) qui permettent de voir la vidéo en même temps que l'on sous-titre, de savoir si on dépasse l'espace alloué pour chaque sous-titre, etc. Une partie du boulot de sous-titrage peut aussi consister à effectuer le repérage, c'est-à-dire analyser le fichier source avec la vidéo pour associer des repères de temps aux dialogues. Enfin, les clients semblent payer au sous-titre ou par minute de film. Les "voiceovers" sont plutôt payés au mot. Sabrina, tu as peut-être d'autres infos ? | | |
Sabrina Boyer Local time: 03:48 Italian to French + ... TOPIC STARTER Mon expérience | Dec 21, 2004 |
En fait, je viens d'obtenir mon DESS "Traduction Sous-titrage Doublage" à l'université de Nice, spécialité italien. Il est effectivement difficile d'entrer dans le "milieu": à la fin de notre DESS, nous avons un stage de 2 mois en entreprise qui nous permet déjà de connaître les rouages du métier. Ce stage ne débouche malheureusement pas forcément sur du travail ! En fait, on nous prévient assez vite que tout marche pas mal par "copinage", si on connaît quelqu'un, c'est... See more En fait, je viens d'obtenir mon DESS "Traduction Sous-titrage Doublage" à l'université de Nice, spécialité italien. Il est effectivement difficile d'entrer dans le "milieu": à la fin de notre DESS, nous avons un stage de 2 mois en entreprise qui nous permet déjà de connaître les rouages du métier. Ce stage ne débouche malheureusement pas forcément sur du travail ! En fait, on nous prévient assez vite que tout marche pas mal par "copinage", si on connaît quelqu'un, c'est tout de suite plus simple (mais ce n'est pas mon cas...). Effectivement, il est très dur de devenir adaptateur pour le cinéma: ces places sont occupées par des mastodontes qui sont là depuis longtemps et pas de place pour les p'tits jeunes ! C'est donc des programmes destinés à la télé (surtout aux chaînes câblées) et aux dvd (avec les bandes-annonces, les bonus...) que l'on sous-titre le plus. Personnellement, je me suis installée en indépendante depuis octobre (j'ai fini mon stage en septembre) et pour l'instant je n'ai eu que deux commandes: deux documentaires américains pour E-Entertainment et Discovery Channel, avec des sous-titres et de la voice-over. Et là, je suis en attente sur 2 projets, faut-il encore que mes devis leur conviennent... Avec ce genre de DESS on apprend aussi le repérage, c'est-à-dire la phase durant laquelle on cale les sous-titres, avec toutes les contraintes qui y sont liées (et elles sont nombreuses). Tu as raison, Hélène, les clients paient au sous-titre ou à la minute. Parfois c'est aussi un forfait, ce qui n'est pas forcément avantageux. Les prix sont très variables: les boîtes savent qu'on est un paquet à sortir des DESS chaque année et peuvent se permettre d'exploiter allégrement cette chair fraîche. Ils savent bien que si toi tu te révoltes contre leurs tarifs, le voisin prendra ta place. Et après, tous les anciens du métier nous regardent d'un sale oeil en nous reprochant de casser les prix: je les comprends, mais il faut bien qu'on mange, nous ! Voilà à peu près ce que je peux vous raconter, si vous avez d'autres questions, n'hésitez pas... Mais si vous avez des infos, n'hésitez pas non plus ! Sabrina. ▲ Collapse | | |
senethib (X) Local time: 03:48 French Recrutement de traducteurs spécialisés dans le domaine du sous-titrage | Jan 17, 2006 |
Senethib wrote: Bonjour, Excusez-moi d'intervenir dans cette discussion, mais il se trouve que je travaille justement au recrutement dans une de ces fameuses sociétés audio-visuelle de la place de Paris qui embauche des traducteurs pour le sous-titrage de bonus, films, interview ...etc destinés au marché du DVD et de la télévision. Je reçois des dizaines de CV par semaine, surtout pour de la traduction Anglais / Français. Il se trouve que peu mentionnent une réelle expérience du métier de repéreur/simulateur qui est pourtant indispensable dans le cadre d'une prestation de sous-titrage. Par ailleurs, en plus des qualifiquations en traduction, l'adaptation du texte traduit reste également un point critique. Pour les nouveaux, nous devons prendre le temps de faire passer des test aux candidats dans ce domaine sous l'oeil critique d'anciens, afin de nous assurer de leurs compétences. Ces tests devant être menés de front avec les productions en cours, n'est pas toujours simple et générateur de chiffre d'affaire immédiat car les délais imposés par nos clients sont souvent très courts, ce qui nous oblige a jouer la carte de la "sécurité" en faisant souvent appel a des relations fiables par l'intermédiaire de gens travaillant déjà avec nous. Quand aux tarifs, ils sont fonction des possibilités financières de nos clients (pas toujours très riches) et des marges qui nous sont imposées pour pouvoir continuer a fonctionner et vous proposer des prestations dans ce domaine. Il est vrai que certains traducteurs cassent les prix pour travailler plus (c'est un choix parfois judicieux)... | | |
qualité du travail | Feb 6, 2006 |
Je me suis récemment inscrite comme traductrice à l'Urssaf après avoir travaillé à l'étranger et je suis nouvelle sur le site Proz. J'ai toujours été passionnée par la question de la traduction de films (doublage et sous-titrage). Je suis étonnée d'une chose : sur ce site il semble y avoir des gens très professionnels. Or autour de moi(France et étranger) je vois souvent des traductions d'un niveau catastrophique : a quoi cela est-il du ? Quant au cinéma c'est par... See more Je me suis récemment inscrite comme traductrice à l'Urssaf après avoir travaillé à l'étranger et je suis nouvelle sur le site Proz. J'ai toujours été passionnée par la question de la traduction de films (doublage et sous-titrage). Je suis étonnée d'une chose : sur ce site il semble y avoir des gens très professionnels. Or autour de moi(France et étranger) je vois souvent des traductions d'un niveau catastrophique : a quoi cela est-il du ? Quant au cinéma c'est pareil : quand on rentre en France le doublage est positivement intolérable : sans connaitre le texte original mot pour mot, on a nettement l'impression que c'est un massacre. S'il y a tout ce monde sur le marché, et si diplômé,comment est-ce possible ? Je sais, étant passionnée de cinéma, que le budget alloué à la traduction est extrêmement minime (ça semble être secondaire) et arrive souvent en bout de course.Mais quand même ... Néanmoins j'ai l'impression que ça s'améliore depuis quelques années, surtout pour les titres de films (quand ils sont traduits !)Pour certains vieux films, c'est à se tordre de rire (ou a pleurer). Ce n'est pas une attaque contre la professionnelle qui nous écrit, au contraire :c'est très aimable de sa part, et j'imagine sans peine qu'ils ont des tas de contraintes. C'est une question d'ordre très général. Ou est-ce juste une impression que j'ai ? Amicalement ▲ Collapse | |
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René VINCHON (X) France German to French + ... L'éternelle ritournelle | Feb 6, 2006 |
Bonjour Hélène, Quand je rencontre, dans diverses occasions, des personnes que je ne connais pas et qui me demandent quelle est ma profession, je m'en invente une. En effet, 9 fois sur 10, c'est la même ritournelle: ah vous êtes traducteur, ça me rappelle la notice incompréhensible que j'ai lue l'autre jour, le film mal sous-titré que j'ai vu l'autre jour, et gnagagna, et gnagnagna. C'est pénible, à la fin! Eh oui, il y a des mauvais traducteurs, comme il y a d... See more Bonjour Hélène, Quand je rencontre, dans diverses occasions, des personnes que je ne connais pas et qui me demandent quelle est ma profession, je m'en invente une. En effet, 9 fois sur 10, c'est la même ritournelle: ah vous êtes traducteur, ça me rappelle la notice incompréhensible que j'ai lue l'autre jour, le film mal sous-titré que j'ai vu l'autre jour, et gnagagna, et gnagnagna. C'est pénible, à la fin! Eh oui, il y a des mauvais traducteurs, comme il y a des mauvais médecins, des mauvais profs, des boulangers qui font du mauvais pain, et j'en passe. Mais quand je vais chez un médecin, quand je rencontre un prof ou que je rentre dans une boulangerie, je ne lance pas en guise d'entrée en matière "ah bon, vous faites ce métier, qu'est-ce qu'il y a comme mauvais dans ce métier!" Pour les autres métiers, je n'ai pas forcément la réponse. Pour la traduction, il y en a une principale: il y a des mauvaises traductions parce qu'elles sont mal payées. C'est le cas pour les films. Les films traduits directement pour le cinéma sont "bien payés et bien traduits". Les films "destinés au marché du DVD" sont sous-payés et (parfois) mal traduits. Il y a même eu un mouvement de protestation récemment dans ce milieu, fait assez rare dans notre métier pour être souligné. Faites des recherches dans le forum, on en a déjà parlé. Voilà, c'est pas compliqué Amicalement, pourquoi pas +:) ▲ Collapse | | |
Bonjour J'ai l'impression que ma remarque a été mal interprétée et je le regrette. Ce que je veux dire c'est que sur ce site, où je débarque, on a l'impression qu'il y a des gens très sérieux (et c'est à eux que je m'adresse) et je me demande pourquoi la personne qui lançait ce fil avait tant de mal à trouver du travail justement. J'ai vu beaucoup de traductions mal faites et je suis étonnée de voir la qualité du travail qui semble être proposée , et qui ne tro... See more Bonjour J'ai l'impression que ma remarque a été mal interprétée et je le regrette. Ce que je veux dire c'est que sur ce site, où je débarque, on a l'impression qu'il y a des gens très sérieux (et c'est à eux que je m'adresse) et je me demande pourquoi la personne qui lançait ce fil avait tant de mal à trouver du travail justement. J'ai vu beaucoup de traductions mal faites et je suis étonnée de voir la qualité du travail qui semble être proposée , et qui ne trouve pas son public. C'était tout sauf une attaque contre les traducteurs en général. Je crois qu'on a tous rouspété contre les titres de films, et ma question était donc : où vont les bons traducteurs ? Vous parlez de l'argent, et ça c'est une chanson que tout le monde connaît... La professionnelle nous expliquait aussi les difficultés de recrutement, et c'était très intéressant. C'était juste un regret que la qualification ne soit pas récompensée, quelque chose comme ça... De toute façon je suis traductrice (depuis peu c'est vrai) donc je n'attaque pas la profession. Plus particulièrement dans le domaine du cinéma, où les places sont certainement chères, c'est dommage qu'on ne semble pas être exigeant par moments. En plus les dialogues d'un film sont d'une importance considérable, et je suis sure que pas mal d'auteurs s'arracheraient les cheveux s'ils se rendaient compte de ce qu'on fait de leurs textes. D'ailleurs Woody Allen a signé une clause pour avoir un certain droit de contrôle sur la traduction des titres de ses films. il faut croire qu'il a pris conscience du problème ; ça limite un petit peu les dégâts. J'apprécie néanmoins votre réflexion rigolote sur le fait d'avoir "honte " de votre profession... Salut... ▲ Collapse | | |
alili (X) France Local time: 03:48 English to French + ... explications... | Apr 2, 2006 |
Oui, il y a des mauvais traducteurs et des bons traducteurs comme dans tous les métiers. Mais il y a aussi un très gros problème pour les traducteurs audiovisuels (dont je fais partie) : la dégringolade des tarifs depuis une dizaine d'années. Forcément, quand on est payé n'importe comment, on a tendance à enchaîner les commandes sans trop se soucier de la qualité de ce qu'on fait. Par ailleurs, ce n'est pas un milieu facile : personnellement, à part ma toute première trad audi... See more Oui, il y a des mauvais traducteurs et des bons traducteurs comme dans tous les métiers. Mais il y a aussi un très gros problème pour les traducteurs audiovisuels (dont je fais partie) : la dégringolade des tarifs depuis une dizaine d'années. Forcément, quand on est payé n'importe comment, on a tendance à enchaîner les commandes sans trop se soucier de la qualité de ce qu'on fait. Par ailleurs, ce n'est pas un milieu facile : personnellement, à part ma toute première trad audiovisuelle que j'ai eu en tombant sur une petite annonce, j'ai trouvé tous mes autres clients par relation. Ca s'est toujours très bien passé une fois que j'avais "mis un pied" chez eux, mais quelle galère pour y entrer... Et encore, mes commandes se limitent à la traduction de documentaires d'un intérêt très variable selon les chaînes-clientes : la fiction au cinéma, c'est pour dans... 10 ans ??? Gardons l'espoir... ▲ Collapse | | |
lyceenne en detresse | Jun 5, 2006 |
salut tout le monde, je suis en terminale et j'aimerai vraiment faire carriere dans la traduction et le doublage, jpensais pour ca faire un DESS a nice (ou autre part, mais je sais pa trop si il ya d'autres endroits pa mal) apres avoir fait une licence et peut etre une maitrise d'anglais. je suis tres entousiaste rien qu'a l'idee de travailler la dedans, mai jai l'impression que tout le monde veut me degouter en me disant que ya pas grand monde a reussir, ya trop de monde pour pas ... See more salut tout le monde, je suis en terminale et j'aimerai vraiment faire carriere dans la traduction et le doublage, jpensais pour ca faire un DESS a nice (ou autre part, mais je sais pa trop si il ya d'autres endroits pa mal) apres avoir fait une licence et peut etre une maitrise d'anglais. je suis tres entousiaste rien qu'a l'idee de travailler la dedans, mai jai l'impression que tout le monde veut me degouter en me disant que ya pas grand monde a reussir, ya trop de monde pour pas assez de boulot et qu'il faudrai que je pense a un autre metier, mais le probleme c'est que a part ca je sais pas du tout quoi faire, yaurai que ca qui minteresserait vraiment. mais ce qui me fait peur surtout, c'est le fait que avoir des relations a l'air quasiment indispensable dans ce metier ... mais comment on en a des relations quand on connait personne (question bizar !! lol) enfin bon, j'espere que vous pourrez m'aider, merci !! marie ▲ Collapse | |
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Marie pas de panique | Jun 8, 2006 |
Salut Marie, Si tu es en terminale, ne commence pas à t'angoisser sur les débouchés d'un métier que tu n'exercera pas de si tôt! Passe ton bac en pensant à ce qui compte aujourd'hui, et faire une licence ou une maîtrise d'anglais (à Nice, à Lille, à Paris) est une bonne idée. LEA peut ajuster une troisième langue à tes cordes, mais ton niveau ne sera pas celui de ta LV1. A toi de conjuguer les séjours à l'étranger (ERASMUS, au pair), les fil... See more Salut Marie, Si tu es en terminale, ne commence pas à t'angoisser sur les débouchés d'un métier que tu n'exercera pas de si tôt! Passe ton bac en pensant à ce qui compte aujourd'hui, et faire une licence ou une maîtrise d'anglais (à Nice, à Lille, à Paris) est une bonne idée. LEA peut ajuster une troisième langue à tes cordes, mais ton niveau ne sera pas celui de ta LV1. A toi de conjuguer les séjours à l'étranger (ERASMUS, au pair), les films en VO, les English societies à la fac etc... pour nuancer ta maîtrise des langues que tu as choisies. En 3 ans tu auras une licence, et si tu es passionnée tu auras commencé à rencontrer des gens qui pourront t'aider (par tes profs, en allant à des festivals, des salons, en contactant des entreprises etc...) Un DESS de traduction (sous-titrage, doublage) te permettra de connaître les ficelles du métier, et d'ici là tu as le temps de rencontrer les acteurs de ce monde professionnel. Tu pourras aussi à l'avenir envisager d'ajouter des langues à tes compétences, ce n'est pas exclu. Profite des étés, vacances etc...pour faire des stages en entreprise, en agences de traduction, propose tes services à des étudiants, et à tous ceux qui auraient besoin d'une traduction que tu es capable de faire: il te faudra des références, tu peux commencer à t'entraîner dès la fin des épreuves du bac lol Les rencontres que tu feras t'appartiennent, tes futurs contacts s'inscriront sur ta route selon tes choix, et il y a mille et une façons d'atteindre ses objectifs. Avec de la patience... Et. Il te faut au moins 16/20 en langues au bac. C'est parti ! Bon courage, LilyRose ▲ Collapse | | |
merci bcp pour ton message lilyrose !!! ca me rassure ton message, et c'est vrai que je devrait peut etre pas commencer deja a m'en faire ! en tout cas je vais tout faire deja pour reussir mon bac le mieux possible (epreuve de philo demain ... aaaargh !!!!)... j'ai hate d'aller a la fac, que de l'anglais, c'est bien mieu (avec option chinois, encore mieux !! lol) sur ce, jretourne a mes revisions, bisous | | |
alili (X) France Local time: 03:48 English to French + ... infos diverses | Jun 19, 2006 |
Bonjour Marie, pour info, à part le DESS de Nice, il existe également un DESS de traduction audiovisuelle à Strasbourg (l'école s'appelle l'ITI RI) et à Lille, ainsi que des options en traduction audiovisuelle dans certains troisièmes cycles à Paris. Quant au métier en lui-même, il est très concentré sur la région parisienne. C'est un boulot passionnant, mais il faut s'accrocher pour débuter, car les premiers clients sont difficiles à trouver et parfois à garde... See more Bonjour Marie, pour info, à part le DESS de Nice, il existe également un DESS de traduction audiovisuelle à Strasbourg (l'école s'appelle l'ITI RI) et à Lille, ainsi que des options en traduction audiovisuelle dans certains troisièmes cycles à Paris. Quant au métier en lui-même, il est très concentré sur la région parisienne. C'est un boulot passionnant, mais il faut s'accrocher pour débuter, car les premiers clients sont difficiles à trouver et parfois à garder. C'est vrai que ça marche par relations - celles que tu peux nouer en faisant des stages en cours de DESS (ou avant, bien sûr !) - et parfois avec un peu de chance - un copain de promo qui travaille pour telle société de post-production qui cherche justement un traducteur... si si, ça arrive ! Enfin, il faut démarcher sans relâche les laboratoires audiovisuels, pour finir par attirer leur attention ! Par ailleurs, à moins d'avoir beaucoup de chance ou de maîtriser une langue rare, il ne faut pas espérer travailler pour le cinéma, du moins pas les premières années : la télévision et le DVD constituent le quotidien du traducteur débutant (et pas seulement débutant, d'ailleurs !). Pour finir, le statut des traducteurs audiovisuels (qui travaillent soit en tant qu'auteurs, soit en tant qu'intermittents du spectacle) est mal connu et peu reconnu. Une association vient de se créer il y a quelques jours (!) pour promouvoir ce statut et faire connaître cette profession, le site Internet n'en est qu'à ses débuts mais va s'enrichir de nouvelles contributions prochainement (http://www.traducteurs-av.org). Bon vent à toi ! Anne-Lise ▲ Collapse | | |
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