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French to English: Prévalence des troubles mentaux chez les adolescents des milieux socio-éducatifs (Etude de la population d’adolescents vivant en foyers sociaux dans les Bouches-du-Rhône) Prevalence rate of DSM mental disorders in adolescents involved with foster ca
Source text - French Auteur: Guillaume Bronsard Pedopsychiatre service Professeur Marcel Rufo, CHU Psychiatrie de Ste Marguerite, Marseille, France
Introduction
Burns et al. (1) considèrent que le système de protection de l’enfance devrait être un « système de soin comportemental » (behavioral care system), tellement le nombre d’enfants et d’adolescents ayant des problèmes émotionnels et comportementaux est important. Le placement d’enfants est un marqueur de haut risque psychopathologique (2)
Les études de prévalence des troubles mentaux dans les milieux de la protection de l’enfance dans les pays anglo-saxons (Child Welfare System et le Foster Care System ) montrent des taux très élevés de troubles mentaux chez ces enfants et adolescents, dépassant régulièrement 50% (2,3,4,5). Nous n’avons pas trouvé dans la littérature scientifique de données sur la prévalence des troubles mentaux chez les mineurs bénéficiant de mesure de protection de l’enfance en France. Même en population générale, les études de prévalence en psychiatrie de l’enfant sont très rares en France (6).
Objectif de l’étude
Nous voulons estimer la prévalence de certains troubles mentaux chez les adolescents hébergés dans les foyers sociaux du département des Bouches-du-Rhône.
Méthode
1/Population de l’étude
L’étude a porté sur les adolescents de 13 à 17 ans (inclus) vivant en foyers sociaux en juin 2005 pour la ville de Marseille et en juin 2006 pour le reste des Bouches-du-Rhône. Ces adolescents étaient répartis dans 42 foyers du département. Suivant ces critères d’inclusion, 643 adolescents étaient recensés sur les fichiers admnistratifs.
2/ Outils
La version française du Diagnostic Interview Schedule for Children (DISC 2.25) :
Il s’agit d’un questionnaire de diagnostic psychiatrique structuré nécessitant un entretien individuel d’1h30 à 2h au cours duquel l’enquêteur remplit ce questionnaire en posant les questions directement à l’adolescent. Cet outil a été développé par le National Insitute of Mental Health américain. Il est utilisé et mis à jour régulièrement depuis 1979 (6, 7). C’est l’entretien diagnostique qui a été à ce jour le plus largement utilisé chez l’enfant et l’adolescent (8). L’acceptabilité et la fiabilité ont été étudiées (9). Le statut de l’enquêteur (clinicien ou profane), n’a pas d’effet sur la fiablité grâce à l’organisation hautement structurée du DISC (10).
Nous avons utilisé la version française allégée qui avait structuré l’enquête québécoise sur la santé mentale des jeunes (11, 12, 13). Le DISC 2.25 français montre une bonne concordance avec les diagnostics des cliniciens, une cohérence interne acceptable et une fiabilité test/retest d’un niveau raisonnable à bon (10).
Les troubles anxieux (TA), la dépression majeure (DM), les troubles du comportemt alimentaire (TCA), le trouble des conduite (TC), le trouble hyperactivité avec déficit de l’attention (THADA) et l’énurésie (EN) sont recehrchés selon les critères du DSM III-R (APA, 1987), le DISC IV (critères du DSM IV, APA, 1994) n’existant pas actuellement en français. Les troubles sont explorés au cours des 6 derniers mois. Le trouble schizophrénique n’est pas exploré en temps que tel. Le DISC propose le dépistage de symptômes psychotiques (SP, « psychosis screen ») répartis en signes pathognomoniques et non pathognomoniques.
L’existence d’un signe pathognomonique ou de plus de 3 signes non pathognomoniques implique l’analyse par un clinicien de la description des symptômes personnalisés rapportés par l’examinateur. Le cadre nosographique « symptômes psychotiques » (psychosis screen) est retenu s’il existe un signe pathognomonique ou au moins trois signes non pathognomoniques et une cohérence globale avec la description détaillée.
2/ Déroulement de l’enquête
Les enquêteurs étaient formés à l’utilisation du questionnaire diagnostique DISC. Il a été vérifié systématiquement que l’adolescent n’avait pas déjà été rencontré par un autre enquêteur. Un entretien structuré avec chaque adolescent a permis de recueillir les informations nécessaires à la cotation du questionnaire DISC 2.25. La totalité des items de chaque questionnaire a été contrôlée lors de la saisie par deux professionnels de façon indépendante
4/ Méthode de calcul statistique
L'analyse a été réalisée à l'aide des logiciels SPSS version 15 et SAS version 9.1. Les algorithmes du DISC 2.5 ont permis d’identifier pour chaque individu la présence ou non de chacun des troubles explorés. Une analyse comparative a été conduite entre les sujets inclus et les sujets éligibles non inclus. La comparabilité des groupes a été testée à l’aide de tests du Khi-2 ou exacts de Fisher pour les variables qualitatives, en fonction des conditions d'application.
Le taux de prévalence pour chaque trouble a été exprimé sous la forme d’une proportion, en divisant le nombre d’individus présentant ce trouble par l’effectif total de la population incluse dans l’étude. Pour chaque taux obtenu à partir de l’échantillon d’étude, un intervalle de confiance à 95% a été calculé à l’aide de la méthode quadratique de Fleiss (14). Les taux de prévalence des troubles ont été comparés en fonction du genre de l’adolescent.
Le seuil retenu de significativité des tests (p) était de 0,05.
Résultats
L’échantillon enquêté est composé de 106 garçons et de 77 filles (sexe ratio 0,58). L’âge moyen est de 15,3 ans (min 13-max 17,5 ; écart-type 1,4).
Le tableau 1 présente le détail des prévalences. Il montre que 48,6% des adolescents enquêtés présentent au moins un trouble mental. La comorbidité est élevée : 23,5% des adolescents présentent au moins deux troubles et 4,1% en présentent 5 ou 6. Par contre certains troubles sont absents : Trouble du comportement alimentaire (TCA) et trouble obsesssionnel compulsif (TOC) et l’énurésie nocturne (EN)
Conclusion
La prévalence des troubles mentaux chez les adolescents placés dans des foyers sociaux des Bouches-du-Rhône est 2,5 à 3,5 fois plus élevée que dans la population générale. Les troubles du comportement (notamment le trouble des conduites) n’en constituent qu’une faible part . Les troubles anxieux et la dépression majeure sont très fréquents ainsi que les tentatives de suicide. Il existe des éléments particulièrement inquiétants représentés par le taux élevé des comorbidités, incluant notamment les « symptôme psychotiques » retrouvés dans 18,6% des cas. Ceci évoque l’existence d’un taux élevé (1/5) de trouble sévère et durable du fonctionnement psychique chez ces adolescents. Enfin, les filles présentent beaucoup plus de troubles que les garçons, augmentant encore leur classique sur-représentaiton des troubles internalisés à l’adolescence (TA, DM) et y ajoutant une augmentation des troubles externalisés habituellement rencontrés plutôt chez les garçons.
La prévalence des troubles explorés n’est pas augmentée pour tous, évoquant la possibilités d’un profil pathologique spécifique. Malgré les limites de l’échantillonnage, l’importante proximité des résultats avec les études de prévalence chez les adolescents de la protection de l’enfance conduites dans d’autres pays renforce leur validité. Ces adolescents partagent tous l’existence d’importants dysfonctionnements familiaux, élément clairement reconnu comme facteur associé au développement des troubles émotionnels et comportementaux chez les enfants et adolescents (22, 23).
Les troubles mentaux sont peu dépistés et peu traités au sein des foyers sociaux comme s’il était « normal d’aller mal » dans ces situations, de façon comparable à ce qui se rencontre dans les milieux de justice des mineurs mais aussi de la détention. Cette étude n’est pas suffisante pour une bonne connaissance de la psychopathologie de ces adolescents et de leurs troubles. Mais parce que les recherches épidémiologiques en France sur ce sujet sont inexistantes, elle contribue à cette connaissance. Elle permet d’affirmer le besoin de développer un corpus de connaissances spécifiques sur le fonctionnement psychique de ces adolescents évoluant en milieu socio-éducatif afin de proposer des dispositifs de soins adaptés à leurs besoins en santé mentale.
Translation - English Author: Guillaume Bronsard child Psychiatric, Child Psychiatry Unit managed by Prof. Marcel Rufo, Ste Marguerite University Hospital of Psychiatry, Marseilles, France
Introduction
Burns et al. (1) believe that the child protection system should be a behavioral care system due to the significant number of infants and adolescents affected by behavioral and emotional disorders. The foster care system is a psychopathological high risk marker (2).
The studies of prevalence in the Child Welfare system/ foster Care System in the Anglo-Saxon countries show very high mental disorders rates in these infants and adolescents that are over 50% (2, 3, 4, 5). We haven’t found in the scientific literature data about the prevalence of youth mental disorders in minors receiving child protection measures in France. In France, the Prevalence studies in Child Psychiatry are very rare, even taking into account the general population (6).
Purpose of the study
We would like to assess the prevalence of some mental disorders in fostered adolescents in the county of Bouches-du-Rhone.
Method
1/ Description of the sample
The study has been done on fostered adolescents (between 13 and 17 incl.) in June 2005 in the city of Marseilles and in June 2006 for the rest of the county of Bouches-du-Rhone. These adolescents are split in 42 fostering places within the county. Based on inclusion criteria, 643 adolescents were recorded on administrative files.
2/ Tools
The French version of Diagnostic Interview Schedule for Children (DISC 2.25):
It is a psychiatric diagnostic questionnaire that is highly structured and it requires an 1h30 to 2h one-to-one interview during which the surveyor completed this questionnaire by asking questions directly to the adolescent. This tool was developed by the American Institute of Mental Health. The DISC has been regularly used and updated since 1979 (6, 7). The diagnostic interview was, up to date, the most largely used tool for children and adolescents (8). The acceptability and the reliability have been studied (9). The surveyor status has no effect on its reliability thanks to the highly structured organisation of the DISC (10).
We have used the alleviated French version based on the Quebec survey on the youth mental health (11, 12, 13). The DISC 2.25 French version shows a good agreement with the clinicians’ diagnosis, an internal and acceptable coherence and a test/re-test reliability of a sensible to a good level (10).
Anxious disorders (AD), major depression (MD), eating behavioural disorders (ED), behavioural disorder (BD), attention deficit hyperactivity disorder (ADHD) and Enuresia (EN) are searched based on the DSM III-R criteria (APA, 1987). The DISC IV (DSM IV criteria, APA, 1994) doesn’t currently exist in France. The disorders were studied the last 6 months. The schizophrenic disorder is not explored as such. The DISC offers screening for psychotic symptoms (SP “psychosis screen”) divided in pathognomonic signs and non pathognomonic signs.
2/ Progress of the survey
The surveyors were trained in the use of the diagnostic questionnaire DISC. The youth was systematically checked that he hadn’t already been met by another surveyor. A structured interview with each adolescent has enabled to collect information necessary to the quotation of the DISC 2.25. All the items of each questionnaire were checked when entering by two professionals independently.
3/ Statistical method of calculation
The analysis was performed using SPSS software version 15 and SAS version 9.1. The algorithms 2.5 DISC have identified for each individual the presence or absence of each disorder that was explored. A comparative analysis was conducted between included adolescents and non-included eligible adolescents. The comparability of the groups was tested using tests Chi-2 or accurate Fisher tests for qualitative variables, depending on the conditions of application. The prevalence rate for each disorder has been expressed as a ratio by dividing the number of individuals with this disorder by the total population included in the study. For each rate obtained from the study sample, a confidence interval of 95% was calculated using the method of quadratic Fleiss (14). The prevalence rates of disorders were compared depending on the youth gender. The threshold significance for test results (p) was 0.05.
Results
The sample investigated is composed of 106 boys and 77 girls (sex ratio 0.58). The average age is 15.3 years (13 min-max 17.5; standard deviation 1.4).
Chart 1 shows the detail of prevalence rates. It shows that 48.6% of adolescents surveyed have at least one mental disorder. Co-morbidity is high: 23.5% of adolescents have at least two disorders and 4.1% adolescents present 5 or 6 disorders. However some disorders are absent: eating behavioral disorder (EBD) and obsession compulsive disorder (OCD) and nocturnal enuresia (NE).
Conclusion
The prevalence of mental disorders in fostered adolescents is 2,5 to 3,5 times higher than in the overall population. The behavioural disorders are not particularly the reason for this very high rate. Anxiety disorders and the major depression occur frequently as well as the attempted suicides. Some elements represent a big concern like, in particular, the high rate of co-morbidities, including the "psychotic symptoms" found in 18.6% of cases. This refers to the existence of a high rate (1 / 5) of severe and durable disorder of mental functioning among adolescents. Finally, girls have much more disorders than boys, therefore, as a result, their classical overrepresentation of internalized disorders during adolescence (AT, MD) is increased together with an increase of externalized disorders which are usually encountered among boys.
The prevalence of explored disorders is not increased for all, referring to the possibilities of a specific pathological profile. Despite the limitations of sampling, the significant proximity of the results with the prevalence studies among adolescents under child protection in other countries enhances their validity.These teens all share the existence of significant dysfunctional families. The dysfunctional family is an element clearly recognized as a factor associated with the development of emotional and behavioral disorders among children and adolescents (22, 23).
Mental disorders aren't detected and treated very much within foster care homes as if it was “normal to feel bad” in these situations, similarly to what occurs in juvenile justice cases but also in custody cases. This study is not sufficient for a good knowledge of the psychopathology of these adolescents and their disorders. But, because of the non-existing epidemiological research on this topic in France, this study contributes to this knowledge. This study enables to develop the obvious need of a corpus of specific knowledge on mental functioning of these adolescents evolving in foster care system in order to offer them care devices tailored to their specific needs in terms of mental health.
French to English: L'Empathie: Reflexions sur un concept
Source text - French C. Boulanger a, C. Lançon b
a Assistant-Chef de clinique, service du Pr. Lançon, SHU de psychiatrie, hôpital Sainte-Marguerite, Marseille, France
b Chef de service de psychiatrie Adulte, SHU de psychiatrie, hôpital Sainte-Marguerite, Marseille, France
Disponible sur internet le 05 juillet 2006
1. Introduction
L’empathie est un phénomène complexe— très humain —
au coeur du Soi, en lien avec les émotions et l’expérience
(empathie narrative). Mais l’empathie reste un concept encore
nébuleux fragilisé et défini par plusieurs courants de pensée
[9]. Une tentative de modélisation de l’empathie a cependant
émergé avec l’avènement des sciences cognitives [26]. Le travail
que nous présentons sur le concept d’empathie, son imitation
et sa contagion émotionnelle, a pour intérêt d’apporter un
nouvel éclairage à la relation thérapeutique. Pour cela, nous
nous référons aux théories psychologiques, phénoménologiques
et aux neurosciences cognitives et en particulier aux
neurosciences de la cognition sociale.
Nous définissons tout d’abord le concept d’empathie, né de
l’intersubjectivité, et précisons son évolution au gré de l’histoire. Puis nous rendons compte de l’apport de la phénoménologie
à la compréhension clinique du phénomène empathique.
Enfin, nous discutons la possibilité de naturaliser l’empathie à
partir du modèle neurophénoménologique.
Translation - English C. Boulanger a, C. Lancon b
a Deputy Manager of Pr. Lancon Psychiatry Unit, Ste-Marguerite Psychiatry Hospital, Marseille, France
b Head of Adult Psychiatry Unit, Ste-Marguerite Psychiatry Hospital, Marseille, France
Available on internet on 05th July 2006
1. Introduction
Empathy is a complex phenomenon – very human- profound and it is related to emotions and experience (narrative empathy). But empathy remains a concept that is still unclear, fragile and, several schools of thought have defined it [9]. An attempt at modelling empathy has emerged with the advent of cognitive sciences [26]. The presentation of our work on the empathy concept, its imitation and its emotional contagion sheds new light on the therapeutic relation. We refer to psychological, phenomenological theories and to cognitive neurosciences and, in particular to social cognition neurosciences.
First we define the empathy concept, originated from inter-subjectivity, and we relate its evolution throughout history. Then we report the contribution of phenomenology to the clinical understanding of the empathetic phenomenon. Finally we discuss about the possibility of naturalizing empathy from the neuro-phenomenological model.
French to English: CONTRAT Prestation de Services / Contract : Provision of services
Source text - French PREAMBULE
La Société Branex Design a pour objet la fabrication et la commercialisation de produits de mobilier et accessoires contemporains.
Elle intervient donc essentiellement auprès des réseaux:
• Les Grands magasins généraux (tels que Printemps, BHV,...)
• Les grandes surfaces générales ; de décoration et d'ameublement
• Les magasins de détail de décoration et d'ameublement
• Les distributeurs et grossistes spécialises
• Les sociétés de Vente par Correspondance
II est convenu ce qui suit :
Article 1: Engagement
1.1 Le mandant accorde au prestataire qui I'accepte le mandat de vendre au nom et
pour le compte du mandant les produits figurant a ce jour au catalogue de Branex Design : Gammes Tam-Tam, Quasar, EI-Vis, Doonuts, Trebo Treto.
1.2 En cas de commercialisation de nouveaux produits par le mandant, ce dernier se
réserve le droit d'autoriser le prestataire a vendre cette nouvelle gamme de produits. En cas
de refus du prestataire, le mandant se réserve le droit de confier les produits refuses à un
autre prestataire de son choix sans que ce refus puisse faire obstacle a la poursuite du
contrat.
1.3 Ce mandat d'intérêt commun est régi par la loi n°81-583 du 25 juin 1881 relative aux
rapports entre les prestataires commerciaux et leurs mandants et par le décret n°58-1245 du 23 décembre 1858.
Article 2: Durée du contrat
Le présent contrat dont la date d'effet est fixée au 1° juillet 2007 est conclu pour one durée indéterminée.
Article 3: Période d'essai
La présente convention sera réputée définitivement conclue à ('expiration d'un délai de 6 mois a compter de so date d'effet pendant lequel les deux parties peuvent résilier le contrat
par lettre recommandée avec accuse de réception sans préavis et sans aucune indemnité.
Article 4: Secteur d'activité
4.1 II est expressément convenu entre les parties que la mission de représentation confiée
au prestataire par le présent contrat sera strictement limitée.
Le secteur d'activité accorde au prestataire pour I'exercice de son mandat de représentation est constitue par :
- la Suisse
Le prestataire doit exercer son mandat auprès de toute la clientèle dont les établissements,
commercialisant les produits objet du présent contrat se situant clans le secteur d'activité
susmentionné, effectuent la vente en gros et au détail de ces articles. Le prestataire s'interdit
de prospecter tous les autres secteurs d'activités et clients de la Ste Branex Design.
Article 5: Obligations du mandant
En vue de permettre au prestataire de remplir au mieux la mission qui lui est confiée, le mandant s'engage à lui remettre gratuitement :
• Tout document commercial de présentation des produits,
• Les grilles de prix et les éventuels barèmes de remises,
• Les échantillons, matériels publicitaires,
• Les documents juridiques et techniques nécessaires a la présentation des produits.
L'ensemble de ces documents reste la propriété de la Ste Branex Design et doit lui restituer le titre en cas de résiliation du présent contrat. L'obligation est donnée au prestataire de s'assurer de leur bon état de présentation et un inventaire sera fait chaque fin d'année.
La Ste Branex Design envoie copie du courrier, des factures et notes de crédit, confirmations de commandes et de prix, adresses aux acheteurs du secteur du prestataire. Le prestataire aura droit d'usage des bureaux du mandant.
La Ste Branex Design, après en avoir avise préalablement le prestataire, s'autorise le droit a visiter sa clientèle et ce clans I'intérêt de I'entreprise.
Article 6: Obligations du mandataire
Dans le cadre du mandat qui lui a été consenti, le prestataire s'oblige à :
• Présenter les produits définis a ('article 1 au nom de la Ste Branex Design,
• Faire tous les efforts requis par la diligence professionnelle pour promouvoir le
développement des ventes visées a l'article 1 et pour défendre les intérêts de la Ste Branex Design et visiter régulièrement la clientèle existante et a la développer
quantitativement et qualitativement
• Entreprendre toutes les démarches et exécuter toutes les formalités nécessaires a la conclusion de la vente pour le compte du mandant,
• Respecter les conditions tarifaires (prix de cession et barèmes de remises), de distribution, de vente et de paiement a faire à la clientèle et fixées par la Ste Branex Design, suivant les tarifs en annexe I
• Prendre les commandes pour le compte du mandant,
• Veiller à la solvabilité de I'acheteur et a la régularité des règlements. II s'engage à
intervenir en cas de retard ou de non-paiement.
• Tenir la Ste Branex Design informée de I'état des commandes et du comportement du client,
• Rechercher ou faire rechercher toute information susceptible d'intéresser le mandant,
lui faire connaître les besoins du marche et les initiatives de la concurrence,
• Sauf impossibilité majeure, participer aux cotes du mandant au salon professionnel
MAISON
Translation - English PREFACE
Branex Design Company manufactures and trades in contemporary furniture and accessories.
Branex Design company supplies the following trading networks :
• Major general stores (such as Printemps, BHV…),
• Major general stores specialised in decoration and furnishing,
• Retail stores specialising in decoration and furnishing,
• Specialised retailers and wholesalers,
French to English: Place des Maisons de l'Adolescent dans la prise en charge de la violence (Présentation du pôle « adolescent difficile » de la Maison Départementale de l’Adolescent de Marseille) Bronsard, G. , Paris, Y. , Renaudier B. Rufo, M
Source text - French 1/ Contexte et histoire du pôle
Des maisons de l’adolescent (MDA) existent depuis une dizaine d'années. Elles sont des structures et des dispositifs d'accueil et de prises en charges de troubles spécifiques de l'adolescence ou dont l'adolescence en fait une spécificité : troubles alimentaires, difficultés ou échec scolaire, conduites à risques, crises suicidaires, troubles du comportement, dysfonctionnements familiaux…L'accueil et les traitements proposés doivent inclure les parents et les professionnels qui s'occupent de l'adolescent.
Le champ d’intervention est donc large, à limite mal définie, comme le sont souvent les troubles à cet âge. Une réduction du champ d’intervention de ces structures à certaines disciplines ou à une liste de type de troubles ou de difficultés pourrait empêcher les adolescents et leurs familles d’accéder à un dispositif de prise en charge, par manque de discernement du trouble en question et donc du bon chemin à suivre pour le traiter.
Ces maisons sont dans le champ sanitaire, social, dans la prévention ou directement dans le soin. Leur cadre peut relever de l'hôpital, de Conseils Généraux ou de financements multiples. C’est cependant la pédopsychiatrie qui est le plus positionnée au sein de ces dispositifs . C’est elle qui est le plus souvent directement invoquée par les familles et la formulation des plaintes ou des demandes envoie le plus souvent à son champ : mal être, trouble du comportement, dysfonctionnements familiaux, inadaptations et échecs scolaires…Enfin les professionnels non médicaux attendent souvent des MDA une facilitation de l’accès au soin de pédopsychiatrie et notamment à l’hospitalisation pour des adolescents en crise.
La problématique de la violence met bien souvent à l’épreuve et en difficulté la plupart des professionnels de l’adolescence, quels que soient leurs disciplines ou leurs domaines d’intervention : école, socio-éducatifs, socio-judiciaires, pédiatrie et bien sûr pédopsychiatrie. Une des raisons de ces grandes difficultés est qu’il n’existe pas de discipline ou de dispositif spécifique pour traiter cette violence. Elle relève le plus souvent de plusieurs champs à la fois : socio-éducatif, justice des mineurs et parfois de la psychiatrie.
Plus la violence est importante, actuelle et critique, finalement plus cette violence induit de la peur chez les professionnels, plus l’adolescent est dit « difficile ». Evaluer en urgence ou simplement et rapidement de « qui relève »cet adolescent violent est malaisé ; ce qui permet par contre facilement à chaque acteur de penser que l’adolescent relève d’un autre champ que le sien. On pourrait caricaturer l’état « d’adolescent difficile » par la description suivante : il s’agit d’un adolescent relevant a priori des champs socio-éducatif (protection de l’enfance, Aide Sociale à l’Enfance, ASE), de la justice des mineurs (Tribunal pour enfant, Protection Judiciaire de la Jeunesse, PJJ) et de la psychiatrie, à propos duquel chaque professionnel pense qu’il relève des deux autres champs que le sien…
Il s’en suit des tentatives volontiers conflictuelles de collaborations entre professionnels et des déplacements souvent brutaux et peu enthousiastes de l’adolescent d’un dispositif à un autre. La situation est d’autant plus conflictuelle qu’elle se déroule dans l’urgence et qu’aucun protocole d’action ou de collaboration n’a été prévu et formalisé.
Le pôle adolescent difficile de la MDA à pour mission d’organiser de façon formelle et opérationnelle la rencontre de la psychiatrie de l’adolescent avec les milieux socio-éducatifs et/ou socio-judiciaires.
2 Fonctionnement du pôle
Nous avons organisé un dispositif visant à simplifier cette incontournable collaboration (au moins a priori et partielle) entre les professionnels de la protection de l’enfance, de la justice des mineurs et de la pédopsychiatrie. Ce pôle a deux types d’actions :
1- Traitement d’une situation individuelle
2- Formation commune multidisciplinaire et recherche
Au sein de ce pôle interviennent des professionnels de la MDA : un pédopsychiatre, une assistante sociale, et un psychologue détaché à temps partiel des foyers de l’enfance du Conseil Général des Bouches-du-Rhône.
Professionnels partenaires de la MDA concernés :
Le plus souvent l’adolescent difficile est suivi par les tribunaux pour enfant, parfois par la PJJ, presque toujours par l’ASE. Il peut être hébergé dans un foyer social (Maison d’Enfant à Carectère Social, MECS). La scolarité est variable mais possible. Enfin il a ou a eu un suivi ou des tentatives de suivi médico-psychologique parfois d’hospitalisation. Les demandes de traitement de situation individuelle et éventuellement de travail théorique concernent tout les professionnels intervenant dans ces milieux.
2.1 Traitement d’une situation individuelle
2.1.1 La demande
La très grande majorité du temps les travailleurs socio-éducatifs de foyers, de l’ASE ou de la PJJ nous sollicitent directement pour une situation pré ou post critique pendant laquelle le recours à la psychiatrie a été considérée par eux comme un échec . La demande directe des juges pour enfant ou des écoles est plus rare. Aucune demande n’est jamais apparue du milieu pédopsychiatrique.
Répartition de l’origine des demandes (154 situations de janvier 2005 à Décembre 2007)
• Foyers (MECS) 56
• Aide Sociale à l’Enfance 53
• Protection Judiciaire de la Jeunesse 29
• Tribunal pour Enfant 6
• ITEP 6
• Ecole 3
• Pédopsychiatrie 1
2.1.2 L’organisation de la rencontre (la synthèse de cas)
Il est important que les professionnels en charge du suivi actuel, récent ou éventuellement dans un proche avenir puissent être impliqués ensemble.
Les rencontres se déroulent à la MDA. Tous les acteurs concernés sont dans un premier temps repérés puis invités . Chaque invité est libre de venir ou pas, comme il l’est pour réaliser ce qu’il aura proposé à la fin de la rencontre. Il ne représente pas son institution de façon formelle, et donc ne l’engage pas. Il s’agit de s’entendre, d’organiser une réponse cohérente, concertée puis acceptée par les différents acteurs. Cette liberté institutionnelle et cette absence d’engagement a priori facilitent la venue des différents professionnels et leur parole.
La présence des juges pour enfant lorsqu’ils suivent le cas a des effets important sur la coordination et la dynamique des différents professionnels. Par un probable effet symbolique de la représentation de la loi, la présence des acteurs de la prise en charge et le suivi des engagements de chacun a toujours été bien supérieur dans les situations où les juges avaient pu venir.
La situation est présentée dans un premier temps par l’équipe qui a sollicité la démarche, puis les difficultés spécifiques que l’équipe socio-éducative a pu rencontrer pour organiser une prise en charge en pédopsychiatrie. L’équipe de la MDA questionne ensuite les professionnels afin de construire des possibilités diagnostics et des indications thérapeutiques. Il faut donc obtenir suffisamment d'information clinique, développementale et anamnestique.
Les informations les plus difficiles à obtenir sont les caractéristiques du développement précoce (âge d’acquisition des fonctions, qualité de l’attachement précoce), de l’adaptation scolaire, de l’histoire des apprentissages (niveau scolaire actuel réél) et plus généralement de la clinique de la petite et même de la grande enfance ; contrairement au déroulé évènementiel de l’histoire familiale qui est en général mieux connu. Ces caractéristiques sont pourtant tout à fait primordiales pour la compréhension des comportements et de la clinique actuelle, et sont bien souvent déterminant pour construire une orientation diagnostique et une indication thérapeutique.
Bronsard G: Pédopsychiatre, directeur de la Maison Départementale de l’Adolescent (MDA13) et du CMPP Départemental à Marseille, CG13 [email protected]
Paris Y: Psychologue, foyers de l’enfance et de la famille, détaché à la MDA, CG13
Renaudier B: Assistante sociale, coordinatrice du pôle adolescent difficile à la MDA, CG13
Rufo M: Professeur de psychiatrie de l’enfant et de l’adolescent, chef de service, CHU Ste Marguerite Marseille
Les MDA du Havre, de Bobigny, de Cochin, de Bordeaux, de Reims, de Besançon, de Rennes sont dirigées par des pédopsychiatres. Certaines font partie du secteur de psychiatrie infanto-juvénile exclusivement, d’autres partiellement. La MDA de Marseille est ouverte depuis fin 2003. Elle est un service du Conseil Général des Bouches-du-Rhône ; elle est dirigée par un pédopsychiatre.
Translation - English 1/History and Context of the Division
Adolescent Care Homes have existed for over 10 years. They are types of hosting structures and places specialized in the management of adolescent- specific disorders such as: eating disorders, school learning difficulties or school failure, risk of violence, suicidal crisis, behavioral disorders, dysfunctional families…The parents and specialists who look after the adolescents should be invited to get involved in the reception and the treatments that are offered.
The sphere of intervention is thus broad, to some extent not well defined, as are the disorders at this age. A reduction in the sphere of intervention of these hosting structures to certain disciplines or to a type list of disorders or difficulties could prevent the adolescents and their families from acceding to treatment management because the disorder cannot be defined, therefore no appropriate treatment to solve the disorder might be taken.
These hosting structures are part in social, sanitary and prevention field or directly in care field. Their status can depend on the hospital, General Councils or multiple financing. However, Child Psychiatry is the most positioned field within these devices . Child Psychiatry is often invoked by families and complaints or requests: feeling bad, behavioral disorder, dysfunctional families, school and adaptation failures. Finally non-medical specialists often expect from the MDA (Adolescent Care homes) an easy access to child psychiatry cares and, in particular, hospitalization for adolescents in crisis.
The vast majority of adolescent specialists often face the violence issue, whatever their specialty or their areas of intervention: school, socio-educational, socio-judicial, pediatrics and, of course, child psychiatry. One of the reasons for these difficulties is that there is no specific specialty or specific mechanism to deal with this violence. Several areas of intervention often deal with this violence such as: socio-educational, juvenile justice and sometimes psychiatry. The more the violence is important, current and critical, the more this violence leads to fear among specialists and the more the youth is classified as “difficult”. An emergency or simply and quickly assessment of” in what field belongs” the violent youth is difficult; this allows each specialist to easily think that this youth type belongs to another field than his own. One could make a caricature of the “difficult” status by the following description: it is an adolescent under the care of the socio-educational field (Child welfare, Children Social Assistance, ASE), of the juvenile justice field (Juvenile Court, Judicial Protection of Youth, PJJ) and of the psychiatry, and each specialist believes that the difficult adolescent is under the care of one the two other fields than his own.
This leads to conflicting work-relationship between specialists and, the difficult youth is suddenly switched from one care device to another in a brutal and unenthusiastic way. The situation becomes more a conflicting situation when taking place in emergency and no protocol of action and collaboration was made and formalized.
The difficult youth division of the Adolescent care home mission is to organize a formal and operational meeting of the Adolescent psychiatry field with the socio-educational and or socio-judicial field.
2 Function of the Division
We have set up a device designed to simplify this essential collaboration (at least a-priori and partial) between the specialists of Child Welfare specialists, juvenile justice and child psychiatry. This division has two types of action:
1 – Treatment of individual situation
2 – Multidisciplinary training and research
The Adolescent Care home specialists are involved within this division: a child psychiatrist, a social worker with a part-time psychologist attached to the child fostering department of the Bouches-du-Rhone General Council.
Professional partners of the Adolescent Care Home:
More often, the difficult youth is followed by the juvenile court, sometimes by the PJJ and almost always by the ASE. The difficult youth may stay in a foster centre (Social House for children MECS). The scholarship is variable but possible. Finally the difficult youth has or had medico-psychological attempts or follow-ups and sometimes he was hospitalized. The requests for individual situation treatment and, eventually, theoretical work concern all the specialists involved in this area.
2.1 Treatment of an individual situation
2.1.1 The request
The vast majority of the time, the socio-educational foster workers of the ASE or the PJJ ask us directly to get in involved in the event of a pre or post critical situation for which the use of psychiatry was regarded by them as a failure . The direct request of a judge for child or schools is very rare. The child psychiatry request has never occurred.
Distribution of the origin of requests (154 cases from January 2005 to December 2007)
2.12 Organization of the meeting (the synthesis of cases)
It is important that the specialists in charge of a current, recent or a possibly follow-up in the near future can be involved together.
The meetings take place at The Adolescent Care Home. All actors are first identified and then invited . Each guest feels free to attend or not, as well as for achieving what he would have offered at the end of the meeting. He doesn’t represent his institution formally, therefore he doesn’t involve it. It is based on a consensus and on the organization of a coherent response. This institutional freedom and this absence of commitment facilitate, a priori, the attendance of different specialists and their say.
The presence of judges for child, when following the case, is important on the different specialists’ coordination and dynamics. On a likely symbolic effect of the law representation, the presence of the actors who manage and follow everyone’s commitment was always superior in the situations where the judges were able to come.
Firstly, the situation is presented by the team who has sought the process, then the specific difficulties that the socio-educational team might have encountered to organize the management in child psychiatry. Then the MDA (Adolescent Care Home) team questions the specialists to build up diagnostic options and therapeutic indications. Therefore, sufficient clinical, departmental and anamnestic information should be obtained.
The most difficult information to obtain is the characteristics of the early development (age of the acquisitioned functions, quality of the early bonding), of the scholar adaptation, of the learning history (current and actual school level) and more generally of the young and even great childhood clinic; unlike the family history events which are generally better known. These characteristics are yet fundamental to understand the behaviour and for the current clinic, and often they are crucial to determine a diagnostic orientation and a therapeutic indication.
Bonsard G: Child Psychiatrist and Manager of the Departmental Adolescent Care Home (MDA13) and of the departmental CMPP in Marseilles CG13 [email protected]
Paris Y: Psychologist, Child and Family Foster Home, works for the MDA (Adolescent care Home), CG13.
Renaudier B: Social worker, coordinator of the “Difficult Adolescent Division” within the MDA (Adolescent care Home), CG13.
Rufo M: Professor in Infant and Adolescent Psychiatry, Head of Psychiatry Unit, Ste-Marguerite University Hospital, Marseilles
The Adolescent care homes in Le Havre, Bobigny, Cochin, Bordeaux, Reims, Besancon, Rennes are managed by Child psychiatrists. Some Adolescent car Homes are exclusively part of the infant-juvenile psychiatry sector, others partially. The Adolescent care home of Marseilles is open since the end of 2003 and is a service of the Bouches-du-Rhone General Council and it’s managed by a child psychiatrist.
French to English (Translator/Interpreter certificate) Italian to English (translator/interpreter certificate) Italian to French (translator/interpreter certificate) English to French (Translator/Interpreter certificate) French (6 years experience)
Memberships
N/A
Software
Adobe Acrobat, Adobe Photoshop, Aegisub, Microsoft Excel, Microsoft Word, aegisub, Apple Mac OS X Leopard version 10.4, express scribe, ifastimevideoconverter, Powerpoint, Wordfast, XTM
CV/Resume
CV available upon request
Bio
I am a French native linguist offering accurate translations, audio/video transcriptions and subtitling (including burning subtitles) from French/Italian into English, English into French/Italian, English>English and French>French.
Qualifications: Translator/Interpreter Certificate (French into English/Italian)
High Diploma of Tourism
Tourist Guide certificate (equivalent to blue badge Guide in the U.K)
Specialised in: History of Arts, Tourism, Hotel and Catering, Medical, Pharmaceutical and biotech devices sectors, market research, marketing, Oral History, Child psychiatry, Online educational games
I am currently working as a freelance translator/transcriber and I have achieved more than 200 pharmaceutical and medical projects, content analysis from French/ Italian into English in the last 14 years in collaboration with Italian, French and English Agencies specialised in medical/pharmaceutical market research. Alongside my translation work I currently teach French to primary school children in Bath (U.K).
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