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Sample translations submitted: 3
English to French: Rédactionnel : présentation de l'exposition de Berverly Pepper
Source text - English The works I made of highly polished stainless steel in the latter 1960s achieved this kind of dualism primarily through the mirror-like finish of their surfaces. Those surfaces acted to emphasize the actual density and weight of the steel, and at the same time they made the physical bulk of the sculpture withdraw behind a smoke-screen of reflections. Under certain light conditions and from certain angles this reflectivity picks up the sculpture’s environment...and this causes the work almost to disappear; so that all remains visible is the network of blue enamel that indicates the interior faces of the forms. From other angles the surfaces reflect into one another, causing geometrics to appear which are not part of the physical format of the work.
Beverly Pepper
Art Journal
XXV(Winter 1975)
Sculpture had staked its own identity on the difference between the representation it lifted above the ground and the pedestal tying that image to its site. This difference was between the vertical and the horizontal. Sculptor that she had become, Pepper nonetheless collapsed her work onto the waiting ground (as in Trevignano, 1970), as though the entire work were nothing but spreading pedestal. These domino-like assemblies, though horizontal, are surprisingly representational—imaging the earth itself—its reach, its subterranean darkness, and the way its surface mounds in diagonal ripples like mammoth serpents moving over unseen protuberances in the earth.
Willing to collapse the verticality of most monuments into the horizontality of Trevignano, Pepper was also open to blurring the fundamental separation of sculpture from painting. To this end she began to work with stainless steel polished to a mirror-like shine. She fashioned the gleaming metal into open frames, their interior surfaces faced with dark blue enamel. The shine declared the three-dimensionality of the works, their volume, their presence. But at the same time, their mirrors caught and reflected the landscape around them, transforming the real surrounds into virtual picture, like a painted image. Lago I, 1970 is a paradoxical horizontal as it reflects the ground around it and the azure pendentive above.
The strictness of Pepper’s dedication to abstraction…is caught in the stainless mirrors where the gleaming frames seem to be pulling apart from one another, opening the overall volume of the work ever farther, to accept more and more impurities into the sculptural center of art.
Rosalind Krauss
Beverly Pepper, Voyages Out
Marlborough Chelsea, NYC
September 12 - October 11, 2008
The tectonic quality of her sculpture can be sensed in the proud assertion of feeling that permeates the work – a heroic bearing in abstract form. There is a yearning for the monumental, the large statement, which has its logical culmination in a scale approximating our architectural environment…
…A couple of observations can be made about Beverly Pepper’s approach to form. Her volumes are empty; the idea of mass is contradicted by an emphasis on precarious engineering (outward projections and cantilevering) which belies the observance of structural realities such as gravity and stress. With the static forms the sculptor creates a dynamic arrangement’ she presents the viewer an aggregate or cluster of box-like units that are hinged or linked, stacked or sliding – always suggesting change and permutation. The base for these sculptures is either a box element, integral to the composition, or a simple steel plate. Although the work is non-representational, its associations vary from chain-belt to bridge segments, from caterpillar to accordian.
While surface and structure exist simultaneously in Beverly Pepper’s sculptures, the surface makes the structure seem immaterial – an illusion rather than a reality. The mirror polish creates a trompe l’oeil effect which operates in two distinctly different ways. Most obviously, individual components appear extended or multiplied through reflection. Perhaps even more compelling, the endpieces of any given form sequence are subject to a mirage in reverse. Under certain light conditions, since so much of the environment is reflected, they seem to cancel themselves out of context of the total sculpture. The mirror polish belies what we know about steel and makes a heavy and assertive material look weightless and self-effacing to the point of disappearance…
Jan van der Marck
Beverly Pepper, Recent Sculpture
Marlborough Gallery
February 1-22, 1969
Translation - French Les œuvres en acier inoxydable ultra poli que j’ai créées à la fin des années 1960 ont atteint une sorte de dualisme, essentiellement grâce au polissage extrême de leurs surfaces qui leur donne l’aspect d’un miroir. L’effet produit par les surfaces accentue la densité et la lourdeur de l’acier, tout en noyant la masse physique de la sculpture dans un nuage de réverbérations. Selon l’éclairage et sous certains angles, c’est l’environnement de la sculpture qui se réfléchit sur les surfaces...ce qui donne parfois l’impression que l’œuvre disparaît. Tout ce que l’on peut voir alors est la structure d’émail bleu que constituent les faces internes de la construction. Sous d’autres angles, les surfaces se reflètent les unes dans les autres et font apparaître des formes géométriques qui ne font pas partie de la forme physique de l’œuvre.
Beverly Pepper
Art Journal
XXV (hiver 1975)
La sculpture a misé sa propre identité sur la différence entre la représentation qu’elle fait naître du sol et le socle qui fixe cette image à un lieu. Cette différence réside entre le vertical et l’horizontal. Devenue sculpteuse, Beverly Pepper a fait le choix de coucher sa création sur le sol (voir Trevignano, 1970), comme si l’œuvre toute entière n’était elle-même qu’un socle étendu. Bien qu’horizontales, ses constructions semblables à des dominos sont étonnamment figuratives ; elles représentent la terre elle-même, sa portée, sa noirceur sous-terraine et la manière dont sa surface s’élève en ondes obliques, comme si des serpents géants glissaient sur des protubérances invisibles à l’intérieur de la terre.
Parallèlement à sa volonté de se défaire de la verticalité qui caractérise la majorité des sculptures pour tendre vers l’horizontalité de Trevignano, Beverly Pepper a également fait le souhait d’estomper la frontière fondamentale entre la sculpture et la peinture. C’est dans cette optique qu’elle a commencé à travailler l’acier inoxydable, poli jusqu’à obtenir la brillance d’un miroir. Elle crée alors à partir du métal luisant des formes ouvertes, dont les faces internes sont recouvertes d’émail bleu nuit. La brillance appuie la tridimensionnalité des œuvres, leur volume, leur présence. Simultanément, les miroirs capturent et reflètent l’environnement des sculptures, transformant ainsi le cadre réel en images virtuelles, en tableaux. L’horizontalité de Lago I, une œuvre de 1970, est paradoxale car les surfaces de la sculpture reflètent à la fois le sol et la voûte d’azur du ciel.
L’incroyable dévotion de Beverly Pepper pour l’abstraction est capturée par les miroirs d’acier où les formes luisantes semblent se démonter et ouvrir plus grand encore l’ensemble du volume, pour accueillir de plus en plus d’impuretés dans le cœur sculptural de l’art.
Rosalind Krauss
Beverly Pepper, Voyages Out
Marlborough Chelsea, New-York
12 septembre - 11 octobre 2008
La qualité tectonique des sculptures de Beverly Pepper se révèle dans le sentiment de fierté qui imprègne son œuvre : l’allure héroïque de la forme abstraite. On perçoit dans ses créations la soif insatiable du monumental, du grand, dont le point culminant côtoie selon toute logique celui de notre environnement architectural…
L’approche adoptée par Beverly Pepper vis à vis de la forme mérite d’être analysée. Ses volumes sont vides ; la notion de masse est contredite par l’accent mis sur la précarité de l’ouvrage (décrochements extérieurs et mises en porte-à-faux), qui dément l’acceptation de réalités structurelles telles que la gravité ou la pression. À partir de formes statiques, la sculpteuse crée un arrangement dynamique. Elle offre à la vue du visiteur un assemblage ou un agglomérat d’unités en forme de boîtes, articulées ou fixées, empilées ou coulissantes, qui laissent toujours supposer un changement ou une interversion. Ces sculptures ont pour base soit un élément en forme de boîte qui fait partie intégrante de la composition, soit une simple plaque d’acier. Les œuvres, bien que non figuratives, sont souvent comparées à des chaînes, des voussoirs, des chenilles ou des accordéons.
Si les surfaces et la structure coexistent dans les sculptures de Beverly Pepper, les surfaces donnent l’illusion d’une structure immatérielle. La finition « miroir » crée un trompe-l’œil qui produit deux effets bien distincts. L’effet le plus évident est que les différents éléments semblent allongés ou multipliés par le réfléchissement. Ce qui est encore plus fascinant, c’est que sur les extrémités de n’importe quelle séquence géométrique se produit un effet de mirage à l’envers. Lorsque l’éclairage permet à une grande partie de l’environnement de se refléter dans la sculpture, l’un et l’autre semblent se neutraliser pour constituer l’ensemble de l’œuvre. La finition « miroir » vient contredire tous nos a priori sur l’acier en faisant de ce métal lourd et imposant un corps aérien, qui s’efface jusqu’à disparaître…
Jan van der Marck
Beverly Pepper, Recent Sculpture
Marlborough Gallery
1-22 février 1969
English to French: Technique : extrait de fiche descritptive d'un dessalinisateur
Source text - English Definitions
•FEEDWater input, salt water
•CONCENTRATE/REJECTWaste water
•PERMEATEDesalinated water, pure water
•SALT REJECTIONDescription of the amount of salt that does not go through the membrane in percentage R=1-C/C
PermeatFeed
•FLUXPermeatthroughput related to the membrane area [l/m2h]
•OSMOTIC PRESSURESum of the concentrations multiplied with the temperature and the gas
contante[Deltaπ]
•BIOCIDEChemical used to conservate the membrane if it will be stored for a longer time period
•SEMIPERMEABLEsemipermeable
•PPMParts per million=mg/l
Translation - French Définitions
• ALIMENTATION Entrée d’eau, eau salée
• CONCENTRAT/RÉTENTAT Eau rejetée
• PERMÉAT Eau dessalée, eau pure
• RÉTENTAT DE SEL Quantité de sel qui ne passe pas à travers la membrane en pourcentage
R = 1 - CPerméat/CAlimentation
• FLUX Débit de perméat à travers la zone de membrane [l/m2h]
• PRESSION OSMOTIQUE Somme des concentrations multipliée par la température et la constante
des gaz [Delta]
• BIOCIDE Substance chimique utilisée pour conserver la membrane si celle-ci doit être stockée pour une longue durée
• SEMI-PERMÉABLE Semi-perméable
• PPM Partie par million = mg/l
English to French: Propriété intellectuelle : extrait d'un article
Source text - English Regulatory Questions
New developments are occurring, such as some patent applicants submitting extremely long applications with a totally unreasonable list of demands - sometimes over 100 - and a rising tendency to submit divisional patent applications (containing matter from previously files applications), said Denis Dambois of the Trade Directorate of the European Commission . There are no sanctions on the regulatory level but this creates legal insecurity for companies wishing to ensure their activities do not involve third party rights.
Technology transfer from developed countries to some emerging economies such as China or Mexico can present a risk for European Union patent holders, Dambois said, as some EU companies are forced to give access to their technology and know-how in the process of a commercial contract or a public market contract beyond the normal frame of the usual commercial relationship.
In addition, a recent decision of the Chinese Supreme Court might influence the legislation on standards, he said. The decision implied that if a company accepts the inclusion of its technology in a Chinese standard, the company will not be able to take legal action against people using its technology. The company might claim financial compensation but this would be much lower than royalties. Participating in a Chinese standard might put EU companies' IP at risk, he said.
New Tools for Patent Management
There is an inflation of patents in the world, said Frederic Caillaud, technology transfer manager for l'Oreal. He and others are predicting a "big bang of IP" by 2010, when the first patent stock exchange will open its doors in Chicago. "This will change the face of IP," he said.
New tools are becoming available that will change the way patents are obtained and used. Web marketplaces, auctions, patent aggregation, patent mapping, patent rating and patent stock exchange are among the new trends, he said. Investment funds are buying IP - 5000 patents were bought last year, patent aggregation is trendy and lucrative for newcomers due to the emergence of computerised tools, he said.
The main issue for developing countries is the lack of IP knowledge, said Charles Molinier from the African Intellectual Property Organization (OAPI). Results from university or research institutes remain unpatented. It is the intention of OAPI to promote IP knowledge by training academics, researchers and lawyers as it is essential that they obtain solid rights, that countries attract direct foreign investment and achieve an efficient application of law. OAPI hopes to develop partnerships with other IP offices.
Translation - French Questions de réglementation
On note l’apparition de nouveaux comportements, comme le dépôt de listes de demandes de brevet multiples extrêmement longues et déraisonnables (concernant parfois plus de 100 brevets), ainsi qu’une tendance consistant à déposer des demandes de brevets divisionnaires (contenant des éléments ayant déjà fait l’objet de dépôts de brevet par le passé), a expliqué Denis Dambois de la Direction générale du Commerce de la Commission européenne. La réglementation ne prévoit aucune sanction pour ce type de comportement et les entreprises qui souhaitent s’assurer qu’elles n’enfreignent aucun brevet ont des difficultés à le faire.
Les transferts de technologie des pays développés vers certains pays émergents comme la Chine ou le Mexique peuvent comporter des risques pour les titulaires de brevets de l’Union européenne, a ajouté M. Dambois. En effet, certains contrats commerciaux ou de marché public contraignent des entreprises européennes à accorder un accès plus étendu à leur technologie et à leur savoir-faire que dans le cadre de relations commerciales habituelles.
En outre, la législation sur les normes pourrait être influencée par une récente décision de la Cour suprême chinoise, a-t-il indiqué. Cette décision sous-entend que si une entreprise accepte que sa technologie soit transférée selon les normes chinoises, l’entreprise n’aura plus la possibilité d’engager des poursuites à l’encontre des utilisateurs de cette technologie. Elle pourra réclamer un dédommagement financier, mais celui-ci sera beaucoup moins important que le montant des redevances. L’acceptation des normes chinoises présente un risque pour la propriété intellectuelle des entreprises européennes, a-t-il conclu.
De nouveaux outils pour la gestion des brevets
Actuellement, partout dans le monde, les brevets connaissent une inflation, a indiqué Frédéric Caillaud, responsable des transferts de technologie chez l’Oréal. Selon lui et d’autres spécialistes, nous allons assister à un « big-bang de la propriété intellectuelle » d’ici à 2010, lorsque la première bourse des brevets ouvrira ses portes à Chicago. « Le visage de la propriété intellectuelle va changer », a-t-il ajouté.
Nous assistons à l’arrivée de nouveaux outils qui vont transformer la manière dont les brevets sont obtenus et utilisés. Les marchés en ligne, la vente aux enchères, les regroupements de brevets, la cartographie des brevets, le classement des brevets et la bourse des brevets font partie de ces nouvelles tendances, a-t-il affirmé. Les fonds de placements investissent dans la propriété intellectuelle (l’année dernière, 5 000 brevets ont été achetés), et le regroupement de brevets est une activité à la mode et lucrative pour les nouveaux arrivants en raison de l’émergence des outils informatisés.
Le principal problème auquel doivent faire face les pays en développement est le manque de connaissances en matière de propriété intellectuelle, a confié Charles Molinier de l’Organisation africaine de propriété intellectuelle (OAPI). Certains résultats de recherches menées dans des universités ou des instituts ne sont pas brevetés. L’OAPI a pour vocation de promouvoir les connaissances dans ce domaine au travers de la formation d’universitaires, de chercheurs et d’avocats afin que les droits de propriété intellectuelle accordés dans ces pays soient solides, que ces derniers attirent des investissements étrangers et qu’ils fassent appliquer le droit de manière efficace. L’OAPI espère pouvoir mettre en place des partenariats avec d’autres offices de propriété intellectuelle.
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Translation education
Master's degree - Université Stendhal
Experience
Years of experience: 17. Registered at ProZ.com: Apr 2009.
English to French (Master 2 TSM - Université Stendhal Grenoble III (, verified) Spanish to French (Master 2 TSM - Université Stendhal Grenoble III (, verified)
Memberships
N/A
Software
Adobe Acrobat, Microsoft Excel, Microsoft Word, Powerpoint, Wordfast
Après avoir obtenu un Master de Traduction spécialisée multilingue (traduction technique et juridique, anglais/espagnol > français) à l'Université Stendhal de Grenoble, j'ai commencé à travailler comme traductrice externe via une société de portage pour une organisation basée à Genève qui publie sur Internet des articles traitant de la propriété intellectuelle. Peu à peu, ma clientèle s'est élargie (organisations internationales, particuliers ...), puis j'ai créé fin 2007 une association de traducteurs : ATIT (www.atit.fr). Grâce à cette structure, mes deux associées et moi pouvons exercer notre métier dans des conditions idéales : travail d'équipe, aide et relecture mutuelles, mise en commun et partage des ressources, etc.
Nos efforts communs ont permis à ATIT de se développer. Nous travaillons à présent pour diverses organisations et entreprises dans des domaines variés : informatique, physique des particules, propriété intellectuelle, droits humains, ondes RF, systèmes de purification de l'eau, art, tourisme, énergie hydraulique, social...
Depuis janvier 2009 je suis inscrite sur la liste des experts judiciaires près la Cour d'appel de Grenoble pour des traductions et interprétations de l'anglais et de l'espagnol vers le français.
Quelques commentaires sur mes traductions :
"Mes félicitations pour votre traduction. Le texte n'était pas facile. Certains passages dans l'original anglais étaient très obscurs selon moi et vous avez fait preuve de beaucoup de recul et d'intelligence dans votre traduction." Odile Martin - CERN (Genève)
"Cette année est pour le moment la meilleure tant pour la traduction que pour le style d'écriture qui est, pour beaucoup de textes, moins ampoulé, plus direct et mieux adapté à la cible jeunes. C'est comme le bon vin, il faut compter environ 5 ans pour qu'il se révèle!" Christophe Bernes - Génération Europe (Bruxelles)