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German to French: 7th ProZ.com Translation Contest - Entry #5872
Source text - German Es war, als hätten sich die Chronisten des weißen Sports gemeinschaftlich verschworen. Seit Monaten bemängelten sie die Austauschbarkeit der Gesichter, das Einerlei des aufgeblähten Terminkalenders, die Reizarmut der Kraftspielerei und den Verschleiß der Kinderstars. Besorgt fragte das US-Blatt Sports Illustrated: "Stirbt Tennis?"
Nicht in Wimbledon. Wie eine Frischzellenkur verhalfen die zwei Wochen im All England Lawn Tennis & Croquet Club der müden Tennisszene wieder zu Vitalität und Schlagzeilen. Auf dem acht Millimeter kurz geschorenen, von werbefreien Banden umrahmten Grün wird eine Tenniswelt präsentiert, in der die Zeit stehengeblieben scheint.
Die ehrwürdige Traditionsveranstaltung im Londoner Südwesten bietet eine perfekte Unterhaltungsshow: Hier wird nicht einfach aufgeschlagen, hier wird Tennis inszeniert. Die Zuschauer, weiß Wimbledon-Held Boris Becker, "wollen nicht nur eine gute Vorhand, sondern eine Aufführung sehen".
Während die zahllosen Turniere von Tokio bis Indian Wells dröge Beliebigkeit ausstrahlen, wirkt der artige Knicks einer Martina Navratilova vor der königlichen Loge wie ein einzigartiges, unverwechselbares Ritual. Und wenn die Organisatoren an jedem Morgen in fast religiöser Feierlichkeit die Namen der Prominenten in der "Royal Box" verkünden, ist dieses Schauspiel nicht nur ein höflicher Tribut an die Herzogin von Kent oder den Grafen von Harewood, sondern auch ein geschicktes Marketinginstrument.
Nirgendwo ist ein sportlicher Langweiler so leicht in einen Knüller zu wenden wie in Wimbledon. So nahmen die Engländer das sensationelle Ausscheiden von Steffi Graf nur beiläufig hin. In deren Bezwingerin, Lori McNeil, 30, fanden sie rasch den Stoff für rührselige Heldengeschichten: Der Vater der dunkelhäutigen Amerikanerin, ein ehemaliger Footballprofi, hatte sich umgebracht. Als sich Lori McNeil nun bis ins Halbfinale vorkämpfte, feierten die Zeitungen sie als "Vorzeigemodell" (Daily Telegraph) einer frustrierten Generation, die Sport zur Flucht aus dem Ghetto nutzt.
Auch Michael Stichs Debakel in der ersten Runde war schon am selben Tag vergessen. London sprach nur noch über den Körper von Andre Agassi. Der langmähnige Amerikaner hatte nach dem Spiel das verschwitzte Sporthemd ausgezogen und ins Publikum geworfen. Teenager kreischten, Fotografen jagten meterweise Zelluloid durch, als Agassi seine teilrasierte Brust entblößte.
Agassis Haare, McNeils Leidensweg, Beckers Baby oder Navratilovas Freundinnen: England malt ein eigenes Bild vom Tennisspektakel. Geschichten und Gestalten, Skandale und Skurrilitäten werden zu einem Gesamtkunstwerk gemixt, bei dem das Serve and Volley nur noch am Rande interessiert.
Translation - French On aurait cru que les tous les chroniqueurs du sport blanc s’étaient donné le mot. Depuis des mois, ils critiquaient le caractère interchangeable des visages, la monotonie d’un calendrier plein à craquer, le peu d’attrait des effets de muscles et l’inflation d’enfants stars. Inquiet, le journal américain Sports Illustrated posait la question: «Le tennis est-il à l’agonie?»
Pas à Wimbledon. Telle une cure de cellules fraîches, les deux semaines jours passées au «All England Lawn Tennis & Croquet Club» ont dissipé la torpeur qui s’était emparée de la scène du tennis et lui ont redonné une vitalité qui fait les gros titres de la presse. Sur le court au gazon tondu à huit millimètres et entouré de panneaux exempts de publicité, nous découvrons un monde pour lequel le temps semble s’être arrêté.
Cette manifestation traditionnelle et vénérable du sud-ouest londonien constitue un spectacle de variétés par excellence: ici, on ne se contente pas de faire des services, ici, le tennis se met en scène. Les spectateurs, affirme le héros de Wimbledon Boris Becker, «ne veulent pas seulement un coup droit de qualité, mais une représentation ».
Alors que les innombrables tournois qui se jouent de Tokyo à Indian Wells n’exhalent que l’arbitraire et l’ennui, la sage révérence d’une Martina Navratilova face à la loge royale fait l’effet d’un rituel jamais vu et unique en son genre. Et lorsque, tous les matins, avec une solennité presque religieuse, les organisateurs annoncent les noms des personnalités présentes dans la «Royal Box», ce spectacle ne se contente plus d’être un tribut offert poliment à la duchesse de Kent ou au comte de Harewood, mais devient en même temps un habile instrument de marketing.
Nulle part ailleurs qu’à Wimbledon une manifestation sportive ennuyeuse peut si facilement se transformer en un brusque succès. C’est ainsi que les Anglais ne prêtèrent qu’une attention distraite au sensationnel retrait de la compétition de Steffi Graf. Son vainqueur Lori McNeil, 30 ans, leur inspira rapidement de touchantes épopées à l’eau de rose: le père de l’Américaine à la peau noire, un ancien professionnel du football, s’était suicidé. Lorsque, par la suite, Lori McNeil se battit et réussit à atteindre la demi-finale, les journaux célébrèrent en elle l’«exemple par excellence» (Daily Telegraph) d’une génération frustrée qui se sert du sport pour échapper au ghetto.
La défaite écrasante de Michael Stich au premier tour était elle aussi oubliée le jour même. Londres ne parlait plus que du corps d’Andre Agassi. A la fin du match, l’Américain aux longs cheveux avait enlevé son polo trempé de sueur et l’avait jeté dans le public. Les teen-agers poussèrent des cris stridents et les photographes déroulèrent des kilomètres de pellicules, lorsqu’Agassi dénuda son torse partiellement rasé.
Les cheveux de Agassi, le calvaire de McNeil, le bébé de Becker ou les petites amies de Navratilova: l’Angleterre esquisse un tableau bien à elle du tennis-spectacle. Les histoires et les personnages, les scandales et les bizarreries s’y mélangent et donnent naissance à une œuvre d’art totale dans laquelle le service-volée ne présente qu’un intérêt tout à fait accessoire.
German to French: Translation contest / Summer 2007
Source text - German Quellentext:
Tim befindet sich momentan in einer Entwicklungsstufe, an die ich mich später sicher am liebsten erinnere - weil sie vorbei ist. Nennen wir sie die "Pupsi-Phase“, die Bestandteil des sich hinziehenden Prozesses des Spracherwerbs eines jeden Kinds zu sein scheint. Jeder Berliner Rapper ist gegen meinen Sohn ein Schöngeist.
Morgens, wenn Tim über meine Beine zu mir ins Bett trampelt, ruft er freudig: „Halloooo Pupsbacke.“ Ich bin aber keine Pupsbacke, sondern ein Vater. Und das sage ich ihm auch. Unnötig zu erwähnen, dass er auch für seine Mutter eine ganz besondere Wortschöpfung parat hat... Die meisten seiner Wortschöpfungen gründeln in Körperöffnungen und Ausscheidungsvorgängen. Das ist nicht schön.
Warum kann er nicht Kosenamen erfinden, die man gerne hört? Warum bin ich nicht einfach „Blumenpapa“? Das sei normal, sagte die Kindergärtnerin, als ich sie darauf ansprach. Ist mir egal, also beschloss ich dem Verhalten meines Sohnes mutig entgegenzutreten und notfalls Strafen für Schimpfwörter zu verhängen.
Leider fehlt es mir dafür jedoch an Autorität. Im Bestrafen bin ich nicht besonders gut. Abgesehen davon hat mir mal eine Psychologin erklärt, dass kleine Kinder mit Strafen überhaupt nichts anfangen können. Es bringt nichts, und das Einhalten von Sanktionen ist für Eltern schwieriger als für Kinder, besonders wenn es um Fernsehverbote geht. Möchte man die zum Beispiel am Sonntagmorgen um acht einhalten? Nein? Na bitte. Ich nahm mir also vor, mit Augenmaß vorzugehen.
Translation - French Übersetzung (Anne-Marie Höthker):
En ce moment, Tim est à une étape de son développement dont je me souviendrai sûrement plus tard avec le plus grand plaisir – quand elle sera passée. Appelons-la la „phase prout-prout“, une phase qui semble être une partie constituante du laborieux procès d’acquisition du langage que connaît tout enfant. Comparé avec mon fils, n’importe quel rappeur berlinois est un bel esprit.
Le matin, quand Tim me piétine les jambes pour venir me voir dans mon lit, il s’exclame joyeusement: „Saluuut, gros péteur.“ Mais je ne suis pas un gros péteur, je suis son père. Et je ne manque pas de le lui faire savoir. Inutile de préciser qu’il dispose aussi pour sa mère d’une création linguistique toute particulière.La plupart de ses créations linguistiques sont inspirées par les orifices du corps et les expulsions d’excréments. Cela n’est pas beau.
Pourquoi ne peut-il pas inventer de petits noms agréables à entendre? Pourquoi ne suis-je pas tout simplement „Papa fleur“? Lorsque j’ai posé la question à l’institutrice de l’école maternelle, elle a prétendu que c’était normal. Je m’en fiche, alors j’ai décidé de lutter courageusement contre le comportement de mon fils et, au besoin, de lui infliger des punitions pour l’emploi de gros mots.
Mais hélas, je n’ai pas la moindre autorité pour y parvenir. Je ne suis pas particulièrement doué pour punir. Une psychologue m’a d’ailleurs expliqué que les jeunes enfants ne comprennent absolument pas le sens les punitions. Il ne sert à rien de les punir et l’observation des sanctions est plus difficile pour les parents que pour les enfants, surtout quand il s’agit d’interdictions de télé. Voudrait-on, par exemple, les imposer le dimanche matin à huit heures? Non? Ah, vous voyez bien! Je décidai donc de procéder à vue d’œil.
German to French: Anlagefonds Vietnam
Source text - German Das General Statistics Office of Vietnam unterscheidet zwischen 17 verschiedenen Sektoren und weist deren entsprechende Bruttowertschöpfung aus. 2006 trug die verarbeitende Industrie den grössten Anteil zum BIP bei. Sie erzielte rund 21% des gesamten Bruttoinlandprodukts und nahm deutlich an Bedeutung zu. Obwohl Vietnam ein nach wie vor stark landwirtschaftlich geprägter Staat ist, trägt die Landwirtschaft nur noch zu 15% zum BIP bei. Der Gross- und Detailhandel sowie der Bergbau weisen beide einen BIP-Anteil von über 10% auf. Die Finanzindustrie ist in Vietnam noch weitgehend unterentwickelt.
Translation - French Le General Statistics Office of Vietnam distingue 17 secteurs d’activité différents et indique pour chacun d’eux la valeur ajoutée brute correspondante. En 2006, c’est l’industrie de transformation qui a contribué le plus fortement au PIB. Elle a permis de réaliser environ 21% du produit intérieur brut global et a nettement gagné en importance. Bien que le Vietnam soit encore un pays fortement agricole, l’agriculture n’y représente plus que 15% du PIB. Le commerce de gros et de détail et l’industrie minière contribuent chacun pour plus de 10% au PIB. Au Vietnam, l’industrie financière est encore largement sous-développée.
German to French: Durchlaufregale
Source text - German Bedienungs- und Wartungsanweisung für Palettendurchlaufregale
[...]
Ordnungsgemäß ist die (Euro/Industrie-) Palette, wenn sie
a) die richtige Abmessung (800x1200 bzw. 1000x1200) und
die normgerechte (UIC-Norm) Ausführung hat.
b) nicht beschädigt, an den Kufen verschmutzt, nicht umschrumpft oder nass ist.
Translation - French Instructions d’utilisation et de maintenance pour rayonnages à palettes dynamiques
[...]
La palette est conforme aux normes industrielles européennes
a) si elle a les dimensions correctes (800x1200 ou 1000x1200) et qu’elle correspond à la norme UIC.
b) si elle n’est pas endommagée et que ses patins ne sont ni sales ni mouillés, ni enveloppés dans le film d’emballage.
German to French: Transtion contest summer 2008
Source text - German "Bunte Ware" aus SPIEGEL Nr. 27/1994, Seite 172.
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Es war, als hätten sich die Chronisten des weißen Sports gemeinschaftlich verschworen. Seit Monaten bemängelten sie die Austauschbarkeit der Gesichter, das Einerlei des aufgeblähten Terminkalenders, die Reizarmut der Kraftspielerei und den Verschleiß der Kinderstars. Besorgt fragte das US-Blatt Sports Illustrated: "Stirbt Tennis?"
Nicht in Wimbledon. Wie eine Frischzellenkur verhalfen die zwei Wochen im All England Lawn Tennis & Croquet Club der müden Tennisszene wieder zu Vitalität und Schlagzeilen. Auf dem acht Millimeter kurz geschorenen, von werbefreien Banden umrahmten Grün wird eine Tenniswelt präsentiert, in der die Zeit stehengeblieben scheint.
Die ehrwürdige Traditionsveranstaltung im Londoner Südwesten bietet eine perfekte Unterhaltungsshow: Hier wird nicht einfach aufgeschlagen, hier wird Tennis inszeniert. Die Zuschauer, weiß Wimbledon-Held Boris Becker, "wollen nicht nur eine gute Vorhand, sondern eine Aufführung sehen".
Während die zahllosen Turniere von Tokio bis Indian Wells dröge Beliebigkeit ausstrahlen, wirkt der artige Knicks einer Martina Navratilova vor der königlichen Loge wie ein einzigartiges, unverwechselbares Ritual. Und wenn die Organisatoren an jedem Morgen in fast religiöser Feierlichkeit die Namen der Prominenten in der "Royal Box" verkünden, ist dieses Schauspiel nicht nur ein höflicher Tribut an die Herzogin von Kent oder den Grafen von Harewood, sondern auch ein geschicktes Marketinginstrument.
Nirgendwo ist ein sportlicher Langweiler so leicht in einen Knüller zu wenden wie in Wimbledon. So nahmen die Engländer das sensationelle Ausscheiden von Steffi Graf nur beiläufig hin. In deren Bezwingerin, Lori McNeil, 30, fanden sie rasch den Stoff für rührselige Heldengeschichten: Der Vater der dunkelhäutigen Amerikanerin, ein ehemaliger Footballprofi, hatte sich umgebracht. Als sich Lori McNeil nun bis ins Halbfinale vorkämpfte, feierten die Zeitungen sie als "Vorzeigemodell" (Daily Telegraph) einer frustrierten Generation, die Sport zur Flucht aus dem Ghetto nutzt.
Auch Michael Stichs Debakel in der ersten Runde war schon am selben Tag vergessen. London sprach nur noch über den Körper von Andre Agassi. Der langmähnige Amerikaner hatte nach dem Spiel das verschwitzte Sporthemd ausgezogen und ins Publikum geworfen. Teenager kreischten, Fotografen jagten meterweise Zelluloid durch, als Agassi seine teilrasierte Brust entblößte.
Agassis Haare, McNeils Leidensweg, Beckers Baby oder Navratilovas Freundinnen: England malt ein eigenes Bild vom Tennisspektakel. Geschichten und Gestalten, Skandale und Skurrilitäten werden zu einem Gesamtkunstwerk gemixt, bei dem das Serve and Volley nur noch am Rande interessiert.
Translation - French "Bunte Ware" aus SPIEGEL Nr. 27/1994, Seite 172.
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On aurait cru que les tous les chroniqueurs du sport blanc s’étaient donné le mot. Depuis des mois, ils critiquaient le caractère interchangeable des visages, la monotonie d’un calendrier plein à craquer, le peu d’attrait des effets de muscles et l’inflation d’enfants stars. Inquiet, le journal américain Sports Illustrated posait la question: «Le tennis est-il à l’agonie?»
Pas à Wimbledon. Telle une cure de cellules fraîches, les deux semaines jours passées au «All England Lawn Tennis & Croquet Club» ont dissipé la torpeur qui s’était emparée de la scène du tennis et lui ont redonné une vitalité qui fait les gros titres de la presse. Sur le court au gazon tondu à huit millimètres et entouré de panneaux exempts de publicité, nous découvrons un monde pour lequel le temps semble s’être arrêté.
Cette manifestation traditionnelle et vénérable du sud-ouest londonien constitue un spectacle de variétés par excellence: ici, on ne se contente pas de faire des services, ici, le tennis se met en scène. Les spectateurs, affirme le héros de Wimbledon Boris Becker, «ne veulent pas seulement un coup droit de qualité, mais une représentation ».
Alors que les innombrables tournois qui se jouent de Tokyo à Indian Wells n’exhalent que l’arbitraire et l’ennui, la sage révérence d’une Martina Navratilova face à la loge royale fait l’effet d’un rituel jamais vu et unique en son genre. Et lorsque, tous les matins, avec une solennité presque religieuse, les organisateurs annoncent les noms des personnalités présentes dans la «Royal Box», ce spectacle ne se contente plus d’être un tribut offert poliment à la duchesse de Kent ou au comte de Harewood, mais devient en même temps un habile instrument de marketing.
Nulle part ailleurs qu’à Wimbledon une manifestation sportive ennuyeuse peut si facilement se transformer en un brusque succès. C’est ainsi que les Anglais ne prêtèrent qu’une attention distraite au sensationnel retrait de la compétition de Steffi Graf. Son vainqueur Lori McNeil, 30 ans, leur inspira rapidement de touchantes épopées à l’eau de rose: le père de l’Américaine à la peau noire, un ancien professionnel du football, s’était suicidé. Lorsque, par la suite, Lori McNeil se battit et réussit à atteindre la demi-finale, les journaux célébrèrent en elle l’«exemple par excellence» (Daily Telegraph) d’une génération frustrée qui se sert du sport pour échapper au ghetto.
La défaite écrasante de Michael Stich au premier tour était elle aussi oubliée le jour même. Londres ne parlait plus que du corps d’Andre Agassi. A la fin du match, l’Américain aux longs cheveux avait enlevé son polo trempé de sueur et l’avait jeté dans le public. Les teen-agers poussèrent des cris stridents et les photographes déroulèrent des kilomètres de pellicules, lorsqu’Agassi dénuda son torse partiellement rasé.
Les cheveux de Agassi, le calvaire de McNeil, le bébé de Becker ou les petites amies de Navratilova: l’Angleterre esquisse un tableau bien à elle du tennis-spectacle. Les histoires et les personnages, les scandales et les bizarreries s’y mélangent et donnent naissance à une œuvre d’art totale dans laquelle le service-volée ne présente qu’un intérêt tout à fait accessoire.
German to French: Durchlaufregale
Source text - German Bedienungs- und Wartungsanweisung für Palettendurchlaufregale
[...]
Ordnungsgemäß ist die (Euro/Industrie-) Palette, wenn sie
a) die richtige Abmessung (800x1200 bzw. 1000x1200) und
die normgerechte (UIC-Norm) Ausführung hat.
b) nicht beschädigt, an den Kufen verschmutzt, nicht umschrumpft oder nass ist.
Translation - French Instructions d’utilisation et de maintenance pour rayonnages à palettes dynamiques
[...]
La palette est conforme aux normes industrielles européennes
a) si elle a les dimensions correctes (800x1200 ou 1000x1200) et qu’elle correspond à la norme UIC.
b) si elle n’est pas endommagée et que ses patins ne sont ni sales ni mouillés, ni enveloppés dans le film d’emballage.
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Experience
Years of experience: 52. Registered at ProZ.com: Feb 2007.
Ich bin eine deutsch-französische Romanistin / Germanistin und lebe seit 1967 in Deutschland.
Als Diplome besitze ich u.a. eine französische Licence d'allemand (1967), das "First Certificate in English" der Universität Cambridge (1990) und einen deutschen Magisterabschluss Französisch / Germanistik/ Italienisch der Universität Köln (2003).
Ich verfüge über eine langjährige und vielseitige Erfahrung als freiberufliche Übersetzerin und Dolmetscherin (Meine Schwerpunkte: Jura, Technik, Medizin, Kunstgeschichte, Kultur, Tourismus, Verwaltung, Braunkohlenförderung). Auf Grund dieser Erfahrung bin ich in der Lage, effektiv zu recherchieren und kann mich schnell in ein neues Aufgabengebiet einarbeiten.