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French to Polish: "La Dioptrique" de René Descartes (extrait), "Dioptryka" Kartezjusza (fragment) General field: Art/Literary Detailed field: Philosophy
Source text - French 1er discours
DE LA LUMIÈRE
Toute la conduite de notre vie dépend de nos sens, entre lesquels celui de la vue étant le plus universel et le plus noble, il n'y a point de. doute que les inventions qui servent à augmenter sa puissance ne soient des plus utiles qui puissent être. Et il est malaisé d'en trouver aucune qui l'augmente davantage que celle de ces merveilleuses lunettes qui, n'étant en usage que depuis peu, nous ont déjà découvert de nouveaux astres dans le ciel, et d'autres nouveaux objets dessus la terre, en plus grand nombre que ne sont ceux que nous y avions vus auparavant : en sorte que, portant notre vue beaucoup plus loin que n'avait coutume d'aller l'imagination de nos pères, elles semblent nous avoir ouvert le chemin, pour parvenir à une connaissance de la Nature beaucoup plus grande et plus parfaite qu'ils ne l'ont eue. Mais, à la honte de nos sciences, cette invention, si utile et si admirable, n'a premièrement été trouvée que par l'expérience et la fortune. Il y a environ trente ans, qu'un nommé Jacques Metius , de la ville d'Alcmar en Hollande, homme qui n'avait jamais étudié, bien qu'il eût un père et un frère qui ont fait profession des mathématiques, mais qui prenait particulièrement plaisir à faire des miroirs et verres brûlants, en composant même l'hiver avec de la glace, ainsi que l'expérience a montré qu'on en peut faire, ayant à cette occasion plusieurs verres de diverses formes, s'avisa par bonheur de regarder au travers de deux, dont l'un était un peu plus épais au milieu qu'aux extrémités, et l'autre au contraire beaucoup plus épais aux extrémités qu'au milieu, et il les appliqua si heureusement aux deux bouts d'un tuyau, que la première des lunettes dont nous parlons, en fut composée. Et c'est seulement sur ce patron que toutes les autres qu'on a vues depuis ont été faites, sans que personne encore, que je sache, ait suffisamment déterminé les figures que ces verres doivent avoir. Car, bien qu'il y ait eu depuis quantité de bons esprits, qui ont fort cultivé cette matière, et ont trouvé à son occasion plusieurs choses en l'Optique, qui valent mieux que ce que nous en avaient laissé les anciens, toutefois, à cause que les inventions un peu malaisées n'arrivent pas à leur dernier degré de perfection du premier coup, il est encore demeuré assez de difficultés en celle-ci, pour me donner sujet d'en écrire. Et d'autant que l'exécution des choses que je dirai doit dépendre de l'industrie des artisans, qui pour l'ordinaire n'ont point étudié, je tâcherai de me rendre intelligible à tout le monde, et de ne rien omettre, ni supposer, qu'on doive avoir appris des autres sciences. C'est pourquoi je commencerai par l'explication de la lumière et de ses rayons ; puis, ayant fait une brève description des parties de l'œil, je dirai particulièrement en quelle sorte se fait la vision; et ensuite, ayant remarqué toutes les choses qui sont capables de la rendre plus parfaite, j'enseignerai comment elles y peuvent être ajoutées par les inventions que je décrirai.
Or, n'ayant ici autre occasion de parler de la lumière, que pour expliquer comment ses rayons entrent dans l'œil, et comment ils peuvent être détournés par les divers corps qu'ils rencontrent, il n'est pas besoin que j'entreprenne de dire au vrai quelle est sa nature, et je crois qu'il suffira que je me serve de deux ou trois comparaisons, qui aident à la concevoir en la façon qui me semble la plus commode, pour expliquer toutes celles de ses propriétés que l'expérience nous fait connaître, et pour déduire ensuite toutes les autres qui ne peuvent pas si aisément être remarquées; imitant en ceci les astronomes, qui, bien que leurs suppositions soient presque toutes fausses ou incertaines, toutefois, à cause qu'elles se rapportent à diverses observations qu'ils ont faites, ne laissent pas d'en tirer plusieurs conséquences très vraies et très assurées.
Il vous est bien sans doute arrivé quelquefois, en marchant de nuit sans flambeau, par des lieux un peu difficiles, qu'il fallait vous aider d'un bâton pour vous conduire, et vous avez pour lors pu remarquer que vous sentiez, par l'entremise de ce bâton, les divers objets qui se rencontraient autour de vous, et même que vous pouviez distinguer s'il y avait des arbres, ou des pierres, ou du sable, ou de l'eau, ou de l'herbe, ou de la boue, ou quelque autre chose de semblable. Il est vrai que cette sorte de sentiment est un peu confuse et obscure, en ceux qui n'en ont pas un long usage; mais considérez-la en ceux qui, étant nés aveugles, s'en sont servis toute leur vie, et vous l'y trouverez si parfaite et si exacte, qu'on pourrait quasi dire qu'ils voient des mains, ou que leur bâton est l'organe de quelque sixième sens, qui leur a été donné au défaut de la vue. Et pour tirer une comparaison de ceci, je désire que vous pensiez que la lumière n'est autre chose, dans les corps qu'on nomme lumineux, qu'un certain mouvement, ou une action fort prompte et tort vive, qui passe vers nos yeux, par l'entremise de l'air et des autres corps transparents, en même façon que le mouvement ou la résistance des corps, que rencontre cet aveugle, passe vers sa main, par l'entremise de son bâton. Ce qui vous empêchera d'abord de trouver étrange, que cette lumière puisse étendre ses rayons en un instant, depuis le soleil jusques à nous : car vous savez que l'action, dont on meut l'un des bouts d'un bâton, doit ainsi passer en un instant jusques à l'autre, et qu'elle y devrait passer en même sorte, encore qu'il y aurait plus de distance qu'il n'y en a, depuis la terre jusques aux cieux. Vous ne trouverez pas étrange non plus, que par son moyen nous puissions voir toutes sortes de couleurs; et même vous croirez peut-être que ces couleurs ne sont autre chose, dans les corps qu'on nomme colorés, que les diverses façons dont ces corps la reçoivent et la renvoient Contre nos yeux : si vous considérez que les différences, qu'un aveugle remarque entre des arbres, des pierres, de l'eau, et choses semblables, par l'entremise de son bâton, ne lui semblent pas moindres que nous font celles qui sont entre le rouge, le jaune, le vert, et toutes les autres couleurs; et toutefois que ces différences ne sont autre chose, en tous ces corps, que les diverses façons de mouvoir, ou de résister aux mouvements de ce bâton. En suite de quoi vous aurez occasion de juger, qu'il n'est pas besoin de supposer qu'il passe quelque chose de matériel depuis les objets jusques à nos yeux, pour nous faire voir les couleurs et la lumière, ni même qu'il y ait rien en ces objets, qui soit semblable aux idées ou aux sentiments que nous en avons : tout de même qu'il ne sort rien des corps, que sent un aveugle, qui doive passer le long de son bâton jusques à sa main, et que la résistance ou le mouvement de ces corps, qui est la seule cause des sentiments qu'il en a, n'est rien de semblable aux idées qu'il en conçoit. Et par ce moyen votre esprit sera délivré de toutes ces petites images voltigeantes par l'air, nommées des espèces intentionnelles, qui travaillent tant l'imagination des philosophes. Même vous pourrez aisément décider la question, qui est entre eux, touchant le lieu d'où vient Faction qui cause le sentiment de la vue : car, comme notre aveugle peut sentir les corps qui sont autour de lui, non seulement par l'action de ces corps, lorsqu'ils se meuvent contre son bâton, mais aussi par celle de sa main, lorsqu'ils ne font que lui résister; ainsi faut-il avouer que les objets de la vue peuvent être sentis, non seulement par le moyen de l'action qui, étant en eux, tend vers les yeux, mais aussi par le moyen de celle qui, étant dans les yeux, tend vers eux. Toutefois, parce que cette action n'est autre chose que la lumière, il faut remarquer qu'il n'y a que ceux qui peuvent voir pendant les ténèbres de la nuit, comme les chats, dans les yeux desquels elle se trouve; et que, pour l'ordinaire des hommes, ils ne voient que par l'action qui vient des objets : car l'expérience nous montre que ces objets doivent être lumineux ou illuminés pour être vus, et non point nos yeux pour les voir. Mais, parce qu'il y a grande différence entre le bâton de cet aveugle et l'air ou les autres corps transparents, par l'entremise desquels nous voyons, il faut que je me serve encore ici d'une autre comparaison.
Voyez une cuve au temps de vendange, toute pleine de raisins à demi foulés, et dans le fond de laquelle on ait fait un trou ou deux, comme A et B, par où le vin doux, qu'elle contient, puisse couler. Puis pensez que, n'y ayant point de vide en la Nature, ainsi que presque tous les Philosophes avouent , et néanmoins y ayant plusieurs pores en tous les corps que nous apercevons autour de nous, ainsi que l'expérience peut montrer fort clairement; il est nécessaire que ces pores soient remplis de quelque matière fort subtile et fort fluide, qui s'étende sans interruption depuis les Astres jusques à nous. Or, cette matière subtile étant comparée avec le vin de cette cuve, et les parties moins fluides ou plus grossières, tant de l'air que des autres corps transparents, avec les grappes de raisins qui sont parmi: vous entendrez facilement que, comme les parties de ce vin, qui sont par exemple vers C, tendent à descendre en ligne droite par le trou A, au même instant qu'il est ouvert, et ensemble par le trou B, et que celles qui sont vers D, et vers E, tendent aussi en même temps à descendre par ces deux trous, sans qu'aucune de ces actions soit empêchée par les autres, ni aussi par la résistance des grappes qui sont en cette cuve.
Translation - Polish Rozprawa pierwsza
O ŚWIETLE
Całe nasze życie zależy od naszych zmysłów, a spośród nich zmysł wzroku jest najbardziej uniwersalny i najszlachetniejszy. Bez wątpienia wynalazki, które go wspomagają, są wielce pożyteczne. I ciężko byłoby znaleźć coś, co służy nam lepiej niż owe cudowne lunety – od niedawna w użyciu, a już odkryliśmy z ich pomocą nowe gwiazdy, jak i wiele innych obiektów na niebie w liczbie znaczniejszej niż kiedykolwiek przedtem. W ten sposób lunety przyczyniły się do tego, iż nasz wzrok sięga dalej niż sięgała wyobraźnia naszych przodków. Zdają się one otwierać nam drogę do poznania tajemnic Natury lepiej i głębiej niż kiedykolwiek przedtem. Niestety, co przynosi wstyd naszym uczonym, wynalazek ten, tak użyteczny i godny podziwu, powstał tylko przez przypadek. Mniej więcej trzydzieści lat temu dokonał tego mieszkaniec Alkmaaru w Holandii, niejaki Jakub (Jacques) Metius. Był to człowiek niewykształcony mimo, iż ojciec jego i brat zajmowali się matematyką. Jednakże szczególnie upodobał sobie konstruowanie zwierciadeł i szkieł o różnorakich formach, nawet z lodu w zimie. Pewnego razu szczęśliwy przypadek sprawił, iż spojrzał on przez dwa z tych szkieł – jedno nieco grubsze pośrodku niż na końcach, drugie na odwrót – oraz umieścił je na dwóch końcach rury, przez co powstała pierwsza z lunet, o których mówię. Według tego wzoru tworzono wszystkie następne i, z tego, co wiem, nikt do tej pory nie określił dokładnie wymiarów, jakie powinny mieć owe szkła. Od tego czasu wiele wybitnych umysłów zajmowało się tą kwestią i dokonało wielu odkryć z dziedziny Optyki, poszerzając wiedzę zdobytą przez Starożytnych. Jednakże lunety są tworzone wciąż dość nieudolnie i ta ich niedoskonałość nie pozwoliła jeszcze na odkrycie wszystkich rządzących nimi zasad. Pozostało więc dość problemów, abym miał o czym pisać. A ponieważ marne wykonanie jest spowodowane brakiem wiedzy rzemieślników, postaram się pisać w sposób zrozumiały dla wszystkich, niczego nie pomijać, ani nie zakładać, że powinno to być już skądś znane. Dlatego zacznę od wyjaśnienia pewnych właściwości światła i jego promieni. Następnie, opisawszy krótko budowę oka, powiem, jak działa zmysł wzroku. Wreszcie wspomnę o wszystkich rzeczach, które mogą go polepszyć i pokażę, jak do tego wykorzystać wynalazki, które opiszę.
Wyjaśnię teraz, w jaki sposób promienie światła trafiają do wnętrza oka i jak zachowują się, napotykając różne obiekty. Jest to tutaj jedyna okazja do pisania o świetle, więc nie ma potrzeby, abym zagłębiał się w jego naturę. Uważam, że wystarczą dwa lub trzy porównania, które pomogą mi w ujęciu kwestii w najprostszy sposób; pomogą mi też w wytłumaczeniu wszystkich jego właściwości, które możemy poznać doświadczalnie, i wszystkich tych, które są trudniej zauważalne. Uczynię to podobnie jak astronomowie, którzy mimo, iż ich założenia są prawie zawsze wieloznaczne lub niepewne, to z przeprowadzanych obserwacji wyciągają oni zawsze wnioski wielce prawdziwe i uzasadnione.
Zdarzyło się wam z pewnością maszerować nocą bez światła w trudnym terenie i pomagać sobie kijem. Mogliście wtedy wyczuć, macając nim wokół, różne przedmioty, a nawet rozróżnić drzewa, kamienie, piasek, wodę, trawę, błoto itp. Ten rodzaj odczuć jest oczywiście bardzo niedokładny i niewyraźny dla większości ludzi. Jednak ci, którzy urodzili się niewidomi, posługują się nim całe życie. Stał się on u nich tak precyzyjny, że można by powiedzieć, iż widzą rękami lub, że ich kij jest organem jakiegoś szóstego zmysłu danego im zamiast wzroku. Posłuży nam to za porównanie. Wyobraźcie sobie, że światło, wydobywające się z tak zwanych ciał świecących, jest pewnym rodzajem ruchu lub działania, bardzo gwałtownym i szybkim, który dociera do naszych oczu za pośrednictwem powietrza lub innego przezroczystego ośrodka. W ten sam sposób swobodny ruch kija lub opór obiektów, które napotyka niewidomy, przechodzi do jego ręki za pośrednictwem kija. Wtedy nie będzie się wam wydawać dziwne, że promienie świetlne w jednej chwili przebywają drogę od Słońca do nas. Wiadomo bowiem, iż poruszenie jednego końca kija jest natychmiast odczuwalne na drugim jego końcu. Dlatego też światło docierałoby do nas tak błyskawicznie nawet, gdyby odległość między niebem a ziemią była jeszcze większa. Przestanie was również dziwić fakt, iż możemy dzięki światłu widzieć kolory. A nawet uwierzycie być może, że barwy to tylko różne sposoby, w jakie obiekty, zwane kolorowymi, przyjmują światło i odsyłają je naszym oczom. Pamiętajcie, że rozróżnienia, jakie czyni swym kijem niewidomy między drzewami, kamieniami, wodą, itp. są dla niego równie istotne, co dla nas różnice pomiędzy czerwienią, żółcią, zielenią i pozostałymi kolorami. A wszakże wszystkie te różnice to wyłącznie opór obiektów, na które napotyka kij, lub brak tegoż oporu. Dzięki temu będziecie mieli okazję sami osądzić, iż fałszywe są przypuszczenia o materii wędrującej od rzeczy do naszych oczu, abyśmy mogli zobaczyć kolory i światło. Nie istnieje również w tych rzeczach nic, co byłoby podobne do naszych idei lub wrażeń. Tak samo z obiektów nie wypływa nic, co miałoby dotykać niewidomego, przemieszczając się po kiju aż do jego ręki. Opór lub jego brak jest jedyną przyczyną odbieranych przez niewidomego wrażeń i w niczym nie jest podobny do idei, jakie jego umysł dzięki temu tworzy. To pomoże wam pozbyć się pomysłów o miniaturowych obrazach różnych rzeczy, fruwających w powietrzu (zwanych species intentionalis), które tak bardzo zajmują wyobraźnię filozofów. Będziecie mogli nawet dość łatwo rozstrzygnąć toczony przez nich spór dotyczący działania zmysłu wzroku. Nasz niewidomy może wyczuwać obiekty wokół siebie nie tylko poprzez ich działanie, gdy trącają jego kij, ale także przez działanie swej dłoni poruszającej kij i napotykającej opór. Trzeba to samo powiedzieć o wzroku: widzimy obiekty nie tylko dlatego, że zawierają w sobie działanie płynące ku naszym oczom, ale także dlatego, że działanie zawarte w naszych oczach płynie ku rzeczom. Ponieważ tym działaniem jest światło, to należy zauważyć, iż w ciemnościach nocy widzą tylko ci, w oczach których to światło się znajduje, np. koty. Doświadczenie uczy nas, że obiekty muszą świecić lub być oświetlane, aby można było je dostrzec; nie wystarcza do tego oświetlenie naszych oczu. Jednak, ponieważ istnieje olbrzymia różnica między kijem niewidomego, a powietrzem i innymi ośrodkami przezroczystymi, za pośrednictwem których widzimy, to muszę się tu posłużyć jeszcze jednym porównaniem.
Oto mamy kadź podczas winobrania, wypełnioną na poły rozgniecionymi winogronami i winnym moszczem. W jej dnie robimy dwa otwory A i B, przez które wino może wypływać z kadzi. Następnie wyobraźcie sobie, że w Naturze nie istnieje pustka, co potwierdzają prawie wszyscy filozofowie; niemniej jednak wszystkie rzeczy wokół nas mają liczne pory, o czym można się doskonale przekonać doświadczalnie. Owe pory są zapewne wypełnione jakąś materią wielce delikatną i ulotną, która rozprzestrzenia się bez przeszkód od Gwiazd aż do nas. Otóż przyrównajcie tę delikatną materię do wina z kadzi, a materię gęściejszą (powietrze czy inne ośrodki przezroczyste) do porozgniatanych winnych gron. Zrozumiecie tedy z łatwością, jak składniki wina (np. wokół punktu C) opadają najkrótszą drogą ku otworowi A, jak i ku otworowi B natychmiast po ich otwarciu. Tak samo wino z punktów D i E spływa do otworów i żadne z tych działań nie przeszkadza drugiemu, ani nie jest wstrzymywane przez grona w kadzi.
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